Le Sénégal travaille pour acquérir le vaccin contre la Covid-19 en cette période où le virus prend une proportion inquiétante. Le Docteur Safiatou Thiam, Secrétaire exécutive du Conseil national de lutte contre le Sida, appelle à vacciner, en premier, les personnes vivant avec le VIH Sida qui ont une immunité qui est faible, c’est-à-dire « une comorbidité ».
« Les personnes porteuses du VIH peuvent se faire vacciner contre la Covid-19. Elles n’ont pas d’inquiétude à se faire. Elles sont éligibles au vaccin contre la Covid-19 », a fait savoir Dr Safiatou Thiam.
Qui poursuit : « Des pays en Europe l’ont commencé, en Allemagne, ils ont commencé à vacciner les personnes vivant avec le VIH avant même la population générale ».
À l’en croire, les personnes vivant avec le VIH peuvent être divisées en deux. « Il y a ceux qui ont une immunité faible, qui sont directement éligible parce que là, le VIH est considéré comme une comorbidité, donc se sont des personnes fragiles qui doivent être protégées, qui doivent être vaccinées en priorité », a-t-elle expliqué.
Par contre, a-t-elle précisé sur la Rfm (radio, privée), « les personnes vivant avec le VIH qui ont une immunité normale, qui sont comme vous et moi, seront éligibles, si elles sont dans la tranche d’âge éligible, elles peuvent être, quand on aura fini de vacciner les personnes vulnérables, vaccinées avant même les personnes saines de la population générale ».
« Les personnes porteuses du VIH peuvent se faire vacciner contre la Covid-19. Elles n’ont pas d’inquiétude à se faire. Elles sont éligibles au vaccin contre la Covid-19 », a fait savoir Dr Safiatou Thiam.
Qui poursuit : « Des pays en Europe l’ont commencé, en Allemagne, ils ont commencé à vacciner les personnes vivant avec le VIH avant même la population générale ».
À l’en croire, les personnes vivant avec le VIH peuvent être divisées en deux. « Il y a ceux qui ont une immunité faible, qui sont directement éligible parce que là, le VIH est considéré comme une comorbidité, donc se sont des personnes fragiles qui doivent être protégées, qui doivent être vaccinées en priorité », a-t-elle expliqué.
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