Autour de la question du sucre, consommateurs et commerçants se sont rencontrés, hier au ministère du commerce. Ce, non seulement pour officialiser la levée du blocus du sucre au Port Autonome de Dakar et une occasion pour le ministre, Alioune Sarr de leur apprendre le maintien de l’interdiction des importations du produit.
Une mesure loin de plaire aux deux représentants des commerçants, Moustapha LO et Serigne Dia Ndongo qui disent ne pas comprendre cette interdiction alors qu’ils peuvent « revendre la denrée à un prix nettement inférieur à celui proposé par la Compagnie Sucrière sénégalaise (CSS).
Mmais « puis que c’est l’Etat qui a pris cette décision, nous ne pouvons que nous y conformer », lâche Moustapha LO de l’Union Nationale des Commerçants et Industriels du Sénégal (UNACOIS).
Fustigeant ses propos, les consommateurs qui partent du principe que « si on suit ces commerçants dans leur logique, demandons à nos paysans de ne plus produire d’arachide pour en faire de l’huile puisque l’huile importée est moins chère que celle produite chez nous. Demandons à tous ceux qui font du riz d’arrêter et mettons à importer du riz puisque c’est moins cher », ne manquent pas de demander à l’Etat de « camper sur sa position et tout faire pour protéger la production locale».
Une « question de souveraineté nationale », soulève Momar Ndoa de l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) qui assène qu’ « on ne peut pas sous prétexte de défendre l’intérêt d’un groupuscule », remettre en cause « l’économie nationale ».
Un mot « groupuscule » de trop pour les commerçants qui réagissent ». « Pourquoi, il se permet de nous insulter en nous traitant de groupuscule », s’insurgent-ils avant de quitter la salle sous le regard du ministre du commerce, Alioune Sarr dépassé par la situation, livre le journal « Le Populaire ».
Une mesure loin de plaire aux deux représentants des commerçants, Moustapha LO et Serigne Dia Ndongo qui disent ne pas comprendre cette interdiction alors qu’ils peuvent « revendre la denrée à un prix nettement inférieur à celui proposé par la Compagnie Sucrière sénégalaise (CSS).
Mmais « puis que c’est l’Etat qui a pris cette décision, nous ne pouvons que nous y conformer », lâche Moustapha LO de l’Union Nationale des Commerçants et Industriels du Sénégal (UNACOIS).
Fustigeant ses propos, les consommateurs qui partent du principe que « si on suit ces commerçants dans leur logique, demandons à nos paysans de ne plus produire d’arachide pour en faire de l’huile puisque l’huile importée est moins chère que celle produite chez nous. Demandons à tous ceux qui font du riz d’arrêter et mettons à importer du riz puisque c’est moins cher », ne manquent pas de demander à l’Etat de « camper sur sa position et tout faire pour protéger la production locale».
Une « question de souveraineté nationale », soulève Momar Ndoa de l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) qui assène qu’ « on ne peut pas sous prétexte de défendre l’intérêt d’un groupuscule », remettre en cause « l’économie nationale ».
Un mot « groupuscule » de trop pour les commerçants qui réagissent ». « Pourquoi, il se permet de nous insulter en nous traitant de groupuscule », s’insurgent-ils avant de quitter la salle sous le regard du ministre du commerce, Alioune Sarr dépassé par la situation, livre le journal « Le Populaire ».
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