Le pool d’avocats de Farba Ngom compte déposer une plainte ce mercredi 30 juillet auprès de la Division spéciale de cybersécurité (DSC). Ce, suite aux informations publiées par le journal Yoor-Yoor Bi dans son édition du mardi 29 juillet 2025, faisant état d’un décaissement d’un milliard de francs CFA pour le rassemblement populaire organisé à Ourossogui en faveur de la libération de l’homme politique.
Selon le journal, la logistique mobilisée pour cette marche pacifique aurait coûté très cher. « Plus de 120 bus de 70 places ont été loués pour 200 millions de francs CFA afin d’acheminer des participants de Dakar à Ourossogui », indique la Une du Quotidien. En plus de cela, « 300 millions de FCFA auraient été versés à quelque 8 400 personnes transportées pour participer à l’événement ».
Yoor-Yoor Bi évoque aussi des « gratifications financières distribuées aux leaders politiques présents à Ourossogui, évaluées entre 2 et 5 millions de francs CFA ». Le journal affirme que des influenceurs et activistes auraient également reçu des compensations, tout comme des organes de presse qui auraient bénéficié de 3 à 5 millions FCFA pour assurer une couverture médiatique favorable, avec des « Unes exclusives, des reportages et revues de presse détaillées ».
Face à ces affirmations, le collectif d’avocats de Farba Ngom entend saisir la justice. La marche pacifique de Ourossogui, visait à exiger la libération de Farba Ngom, considéré par ses partisans comme un « détenu politique. »
Selon le journal, la logistique mobilisée pour cette marche pacifique aurait coûté très cher. « Plus de 120 bus de 70 places ont été loués pour 200 millions de francs CFA afin d’acheminer des participants de Dakar à Ourossogui », indique la Une du Quotidien. En plus de cela, « 300 millions de FCFA auraient été versés à quelque 8 400 personnes transportées pour participer à l’événement ».
Yoor-Yoor Bi évoque aussi des « gratifications financières distribuées aux leaders politiques présents à Ourossogui, évaluées entre 2 et 5 millions de francs CFA ». Le journal affirme que des influenceurs et activistes auraient également reçu des compensations, tout comme des organes de presse qui auraient bénéficié de 3 à 5 millions FCFA pour assurer une couverture médiatique favorable, avec des « Unes exclusives, des reportages et revues de presse détaillées ».
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