Dans la journée du samedi les populations de Guédiawaye ont eu du mal à accéder dans certaines zones. Pour cause, les différents axes sont sous l’emprise des eaux. Dans la commune de Wakhinane nimzatt, la route qui mène au croisement, en plein milieu de la banlieue Serigne Assane, est difficile d’accès. Les voitures dont les bus Tata et Dakar Dem Dikk (Ddd) ont éprouvé d’énormes peines pour circuler. « C’est le début du calvaire pour nous les chauffeurs. Et c’est dommage car à chaque hivernage, nos voitures sont presque à l’arrêt car les routes sont détruites par les eaux », lance Madou Mbaye, un jeune apprenti de car rapide.
Dans la commune de Sahm notaire, l’axe qui part de la Sonatel vers la police est impraticable. Trois sapeurs pompiers s’affairaient à faire démarrer une motopompe. Mais en vain. Pour rejoindre l’autre partie de la route, en allant vers l’école privée Souleymane Baal, d’aucuns sont obligés de passer par-dessus des murs, pour d’autres, il est nécessaire de s’agripper sur les grilles de l’agence de poste. Certaines, qui trouvent cet acte lent, préfèrent se déchausser et patauger lentement.
L’odeur nauséabonde qui se dégage empeste à des kilomètres. «C’est le seule solution. Mais je pense que les autorités doivent réagir et vite. Si cette eau n’est pas dégagée, ce sera la catastrophe», déplore une dame qui habite en face de la route.
Au-delà des route et autres axes bloqués par les eaux, les populations reste sur le qui vive. Pour celles qui habitent en faces des bassins de rétention, « seul le bon Dieu peut nous venir en aide », prie-t-elle.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
Dans la commune de Sahm notaire, l’axe qui part de la Sonatel vers la police est impraticable. Trois sapeurs pompiers s’affairaient à faire démarrer une motopompe. Mais en vain. Pour rejoindre l’autre partie de la route, en allant vers l’école privée Souleymane Baal, d’aucuns sont obligés de passer par-dessus des murs, pour d’autres, il est nécessaire de s’agripper sur les grilles de l’agence de poste. Certaines, qui trouvent cet acte lent, préfèrent se déchausser et patauger lentement.
L’odeur nauséabonde qui se dégage empeste à des kilomètres. «C’est le seule solution. Mais je pense que les autorités doivent réagir et vite. Si cette eau n’est pas dégagée, ce sera la catastrophe», déplore une dame qui habite en face de la route.
Au-delà des route et autres axes bloqués par les eaux, les populations reste sur le qui vive. Pour celles qui habitent en faces des bassins de rétention, « seul le bon Dieu peut nous venir en aide », prie-t-elle.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
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