
Des bureaux stratégiques du Trésor public ont été cambriolés, selon des informations révélées par L’Observateur dans son édition de ce jeudi 6 mars. Les malfaiteurs ont ciblé le deuxième étage de la Direction de l’informatique, un secteur sensible où sont stockées d'importantes données financières. Les faits se sont produits le 3 mars dernier. Ce jour-là, la Sûreté urbaine (Su) de Dakar a été alertée, conscient de l’ampleur ils se sont rendus rapidement sur place.
D’après le journal du Groupe Futurs Médias, les intrus auraient pénétré dans les locaux par des portes restées entrouvertes donnant sur le balcon. Une faille de sécurité qui leur a permis d’accéder aux ordinateurs directement reliés au serveur de la Direction générale, où sont enregistrées toutes les informations financières du Trésor public. Plusieurs objets de valeur ont été emportés dont deux ordinateurs un de marque « HP » et un « Surface Pro ». Dans le bureau numéro 18 les enquêteurs ont découvert un montant de 200.000 FCFA.
Autre élément troublant relevé par le journal : aucune trace évidente d’effraction n’a été constatée à l’arrivée des forces de l’ordre. Le quotidien souligne également « une coïncidence intrigante entre ce cambriolage et le décès récent du Chef de division. »
Dans le cadre de l’enquête, deux personnes en poste cette nuit-là ont été convoquées par la Sûreté urbaine : le vigile J. M. Niakh et un agent de police du Groupement Mobile d’Intervention (GMI), A. Goudiaby.
Saisi de l’affaire, le procureur de la République a ordonné des investigations pour élucider les circonstances de ce vol.
D’après le journal du Groupe Futurs Médias, les intrus auraient pénétré dans les locaux par des portes restées entrouvertes donnant sur le balcon. Une faille de sécurité qui leur a permis d’accéder aux ordinateurs directement reliés au serveur de la Direction générale, où sont enregistrées toutes les informations financières du Trésor public. Plusieurs objets de valeur ont été emportés dont deux ordinateurs un de marque « HP » et un « Surface Pro ». Dans le bureau numéro 18 les enquêteurs ont découvert un montant de 200.000 FCFA.
Autre élément troublant relevé par le journal : aucune trace évidente d’effraction n’a été constatée à l’arrivée des forces de l’ordre. Le quotidien souligne également « une coïncidence intrigante entre ce cambriolage et le décès récent du Chef de division. »
Dans le cadre de l’enquête, deux personnes en poste cette nuit-là ont été convoquées par la Sûreté urbaine : le vigile J. M. Niakh et un agent de police du Groupement Mobile d’Intervention (GMI), A. Goudiaby.
Saisi de l’affaire, le procureur de la République a ordonné des investigations pour élucider les circonstances de ce vol.
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