Selon les responsables du site, la publication de cette liste a été un choc, notamment parce que le média aurait rempli toutes les conditions demandées pour figurer dans ce répertoire. Le groupe précise que les informations relatives à ses journalistes et à leurs contrats étaient bien présentes sur la plateforme mise en place par les autorités, la veille de la publication officielle. Cependant, ces données ont été mystérieusement supprimées avant la parution de la liste finale.
Dans un communiqué publié sur son site, Dakaractu a dénoncé ce qu'il considère comme une manœuvre délibérée visant à museler un média qui dérange. Le site accuse certains acteurs de vouloir réduire au silence des voix critiques du pouvoir et de restreindre la liberté de la presse. "En excluant Dakaractu de cette liste, le ministère de la Communication met en péril des dizaines d’emplois dans un secteur déjà fragile", soulignent les responsables du média. Ils rappellent que dans un contexte où le journalisme au Sénégal demeure un travail souvent précaire et difficile, cette exclusion met en lumière un climat tendu pour les professionnels de la presse.
Malgré ces difficultés, Dakaractu insiste sur sa détermination à continuer à défendre ses droits. "Nous ne demandons aucune faveur ni reconnaissance. Nous exigeons simplement le rétablissement de nos droits", a précisé le média.
Face à cette situation, les responsables de Dakaractu ont pris la décision de fermer temporairement leurs bureaux au Sénégal. Ils ont également pris la décision d'exiler le média dans un pays. "Où la liberté de la presse et la liberté d'entreprendre sont mieux protégées", selon leurs termes.
Le groupe a précisé qu’il ne s’agissait pas d’une défaite, mais d'une mesure stratégique face à un environnement de plus en plus hostile. Dakaractu affirme que, malgré l’adversité, le média continuera à se battre pour la liberté de la presse et pour la préservation de la démocratie au Sénégal.
Dans un communiqué publié sur son site, Dakaractu a dénoncé ce qu'il considère comme une manœuvre délibérée visant à museler un média qui dérange. Le site accuse certains acteurs de vouloir réduire au silence des voix critiques du pouvoir et de restreindre la liberté de la presse. "En excluant Dakaractu de cette liste, le ministère de la Communication met en péril des dizaines d’emplois dans un secteur déjà fragile", soulignent les responsables du média. Ils rappellent que dans un contexte où le journalisme au Sénégal demeure un travail souvent précaire et difficile, cette exclusion met en lumière un climat tendu pour les professionnels de la presse.
Malgré ces difficultés, Dakaractu insiste sur sa détermination à continuer à défendre ses droits. "Nous ne demandons aucune faveur ni reconnaissance. Nous exigeons simplement le rétablissement de nos droits", a précisé le média.
Face à cette situation, les responsables de Dakaractu ont pris la décision de fermer temporairement leurs bureaux au Sénégal. Ils ont également pris la décision d'exiler le média dans un pays. "Où la liberté de la presse et la liberté d'entreprendre sont mieux protégées", selon leurs termes.
Le groupe a précisé qu’il ne s’agissait pas d’une défaite, mais d'une mesure stratégique face à un environnement de plus en plus hostile. Dakaractu affirme que, malgré l’adversité, le média continuera à se battre pour la liberté de la presse et pour la préservation de la démocratie au Sénégal.
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