En Côte d'Ivoire, le soir du 24 décembre sur la place Alassane Ouattara d’Abobo, les maillots orange des champions d’Afrique en titre se mêlent aux tee-shirts et casquettes blancs à l’effigie de Téné Birahima Ouattara. Le candidat du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP au pouvoir) a offert aux habitants une projection sur écran géant du match des Éléphants face au Mozambique. À deux jours du scrutin, le ministre ivoirien de la Défense se dit confiant. « Nous avons fait le tour des différentes communautés ethniques ici à Abobo, des associations. Les uns et les autres sont contents de nous avoir. Tout se passe bien et nous espérons que le vote sera très massif ».
Le candidat du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), soutenu par le Front populaire ivoirien (FPI) a quand à lui opté pour une rencontre avec les chefs traditionnels baoulés. Jean-François Dibi promet en cas de victoire d’introduire une loi d’amnistie générale en faveur, dit-il, « des prisonniers d’opinion ». « En étant majoritaire à l’Assemblée nationale, nous pourrons obtenir cette loi d’amnistie générale pour libérer bien sûr tous ceux qui sont en prison et nous allons nous donner les moyens de faire passer cette loi pour que les voyeurs se retrouvent ».
À côté des partis politiques traditionnels, de nombreux candidats indépendants sont aussi en lice. Parmi eux, Zakaria Koné. Âgé de 34 ans, il mise avant tout sur le contact direct avec les électeurs. « Nous sommes plus axés sur le porte-à-porte. On parle à la population, on l’interpelle sur ses réalités et on lui demande de faire le choix du progrès, du changement, pour qu’Abobo sorte de cette précarité ».
Ce 27 décembre, lors des législatives, six sièges de députés seront à pourvoir à Abobo, où le corps électoral est estimé à plus de 438 000 personnes. Lors de la présidentielle d’octobre dernier, seuls 42 % des électeurs s’étaient déplacés.
Le candidat du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), soutenu par le Front populaire ivoirien (FPI) a quand à lui opté pour une rencontre avec les chefs traditionnels baoulés. Jean-François Dibi promet en cas de victoire d’introduire une loi d’amnistie générale en faveur, dit-il, « des prisonniers d’opinion ». « En étant majoritaire à l’Assemblée nationale, nous pourrons obtenir cette loi d’amnistie générale pour libérer bien sûr tous ceux qui sont en prison et nous allons nous donner les moyens de faire passer cette loi pour que les voyeurs se retrouvent ».
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