Dans sa décision rendue le jeudi 23 novembre dernier, le Tribunal correctionnel de Dakar a accédé à la requête de Dangote Cement Senegal (DCS). Les avocats de ce dernier avaient déposé devant cette instance, l’exception de nullité de la plainte déposée par les héritiers de feu Serigne Kader Mbacké qui avaient auparavant déposé une citation directe contre les dirigeants de l'entreprise.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik, il est relevé que : «Ces derniers prétendaient être exclus de
l’actionnariat de Dangote Cement Senegal (DCS) en plus de ne pas être impliqués dans la gestion courante de ses affaires. Sur ces questions, la Direction générale de DCS avait tenu à clarifier qu’il n’a jamais été de l’intention du groupe Dangote d’exclure la famille Mbacké et ses membres du capital de DCS».
Avant de préciser que : «Les responsables de DCS avaient indiqué que, conformément au jugement d’hérédité rendu en 2011 par le tribunal départemental de Dakar, un administrateur séquestre désigné, a représenté les héritiers lors de différentes assemblées générales tenues et ce jusqu’au 30 juin 2017, date à laquelle, l’administrateur séquestre a adressé une lettre par exploit d’huissier, indiquant avoir perdu tout pouvoir de représentation à l’égard des héritiers Mbacké. La renonciation de ce dernier est intervenue alors que la société bouclait la procédure d’augmentation de capital, à laquelle les héritiers ont toujours été associés».
Mais, les conseils de DCS ont, en plus de ces arguments, trouvé la parade en plaidant en faveur de l’irrecevabilité de l’action des héritiers du fait que : «ces derniers avaient déjà déposé une plainte pour les mêmes faits, devant le même tribunal».
Et les avocats de DCS de rappeler que : «les doutes sur leur possession de 10% du capital avaient été définitivement levés entre temps. En effet, à son arrivée à la direction de Dangote Cement Senegal en 2015, l’une des premières décisions de M. Lucas Haelterman, actuel directeur de DCS a été de tenir les héritiers Mbacké actionnaires à hauteur de 10% du capital de DCS tel qu’ils le réclamaient et de les associer à toutes les assemblées générales. Autant de faits qui rendent les accusations sur l’intention de spolier les héritiers Mbacké des 10% d’actions qu’ils détiennent totalement insensées».
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik, il est relevé que : «Ces derniers prétendaient être exclus de
l’actionnariat de Dangote Cement Senegal (DCS) en plus de ne pas être impliqués dans la gestion courante de ses affaires. Sur ces questions, la Direction générale de DCS avait tenu à clarifier qu’il n’a jamais été de l’intention du groupe Dangote d’exclure la famille Mbacké et ses membres du capital de DCS».
Avant de préciser que : «Les responsables de DCS avaient indiqué que, conformément au jugement d’hérédité rendu en 2011 par le tribunal départemental de Dakar, un administrateur séquestre désigné, a représenté les héritiers lors de différentes assemblées générales tenues et ce jusqu’au 30 juin 2017, date à laquelle, l’administrateur séquestre a adressé une lettre par exploit d’huissier, indiquant avoir perdu tout pouvoir de représentation à l’égard des héritiers Mbacké. La renonciation de ce dernier est intervenue alors que la société bouclait la procédure d’augmentation de capital, à laquelle les héritiers ont toujours été associés».
Mais, les conseils de DCS ont, en plus de ces arguments, trouvé la parade en plaidant en faveur de l’irrecevabilité de l’action des héritiers du fait que : «ces derniers avaient déjà déposé une plainte pour les mêmes faits, devant le même tribunal».
Et les avocats de DCS de rappeler que : «les doutes sur leur possession de 10% du capital avaient été définitivement levés entre temps. En effet, à son arrivée à la direction de Dangote Cement Senegal en 2015, l’une des premières décisions de M. Lucas Haelterman, actuel directeur de DCS a été de tenir les héritiers Mbacké actionnaires à hauteur de 10% du capital de DCS tel qu’ils le réclamaient et de les associer à toutes les assemblées générales. Autant de faits qui rendent les accusations sur l’intention de spolier les héritiers Mbacké des 10% d’actions qu’ils détiennent totalement insensées».
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