Les effectifs de cette année accusent une augmentation de 13 % par rapport à la session 2011, selon des sources proches de l’Office du baccalauréat. Les 43.894 parmi les candidats , soit les 60 % sont issus de l’enseignement public contre 26.856 candidats du privé laïque, soit 37,4 %, et 1.696 candidats issus de l’enseignement privé confessionnel.
Les candidatures féminines sont estimées cette année à 39.618 tandis que les candidats libres ou individuels sont à 18.974, soit 20,9 % du total des inscrits.
La grande particularité de l’examen du baccalauréat de cette année c’est qu’à cause des perturbations notées au cours de l’année scolaire les candidats auront la possibilité de choisir entre la première session, c’est-à-dire celle qui démarre ce ce mardi 7août, et une autre qui est prevue au mois d’octobre prochain. Une mesure qui vise à rétablir la justice entre les établissements qui ont connu beaucoup de perturbations, soit 60% de l’ensemble et les autres qui ont été moins perturbés.
A noter qu’hier lundi dans la journée, soit à quelques heures du démarrage des épreuves, de nombreux enseignants avaient assiégé l’inspection d’Académie de Dakar pour réclamer leur convocation. Il est d’ailleurs à craindre que certains d’entre eux ne puissent rejoindre leurs centres d’examens, si ceux-ci se situaient à des lieux éloignés de Dakar.
Toutefois, selon certains candidats, ils abordent ces épreuves la peur au ventre à cause surtout des résultats « catastrophiques » enregistrés par leurs cadets du cycle moyen. Ces derniers pensent qu’ils ont tous été affectés par les perturbations.
Mamadou Mika LOM (Sud quotidien)
Les candidatures féminines sont estimées cette année à 39.618 tandis que les candidats libres ou individuels sont à 18.974, soit 20,9 % du total des inscrits.
La grande particularité de l’examen du baccalauréat de cette année c’est qu’à cause des perturbations notées au cours de l’année scolaire les candidats auront la possibilité de choisir entre la première session, c’est-à-dire celle qui démarre ce ce mardi 7août, et une autre qui est prevue au mois d’octobre prochain. Une mesure qui vise à rétablir la justice entre les établissements qui ont connu beaucoup de perturbations, soit 60% de l’ensemble et les autres qui ont été moins perturbés.
A noter qu’hier lundi dans la journée, soit à quelques heures du démarrage des épreuves, de nombreux enseignants avaient assiégé l’inspection d’Académie de Dakar pour réclamer leur convocation. Il est d’ailleurs à craindre que certains d’entre eux ne puissent rejoindre leurs centres d’examens, si ceux-ci se situaient à des lieux éloignés de Dakar.
Toutefois, selon certains candidats, ils abordent ces épreuves la peur au ventre à cause surtout des résultats « catastrophiques » enregistrés par leurs cadets du cycle moyen. Ces derniers pensent qu’ils ont tous été affectés par les perturbations.
Mamadou Mika LOM (Sud quotidien)
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