Une étude de Afrobarometer sur la démocratie en Afrique révèle que 85% des Sénégalais sont pour la limitation des mandats à deux. Soit "71% tout à fait d'accord et 14 % d'accord".
Les enquêtes au titre du Round 8 de Afrobarometer ont été réalisées dans 34 pays au cours des années 2019-2021, en même temps que bon nombre de ces progrès et reculs démocratiques, et à cheval sur le début de la pandémie.
Le document fait remarquer "qu'en dépit des nombreux efforts déployés pour affaiblir les normes et les libertés démocratiques, les citoyens continuent d'y adhérer. Ils estiment que l'armée doit se tenir à l'écart de la politique, que les partis politiques doivent rivaliser librement pour conquérir le pouvoir, que les élections sont un outil imparfait mais essentiel pour choisir leurs dirigeants et qu'il est temps que les les vieillards qui s'accrochent au pouvoir se retirer."
Par contre, il s'avère que la réalité politique est souvent "en deçà de ces aspirations : C'est souvent l'offre de la démocratie qui laisse à désirer pour les citoyens. La perception d'une corruption généralisée et qui s'aggrave est profondément corrosive, entraînant une insatisfaction croissante des citoyens à l'égard de systèmes politiques qui ne répondent pas encore à leurs aspirations à vivre dans des sociétés gouvernées de façon démocratique et responsable. Et, bien que les citoyens disposent d'une multitude de moyens pour exprimer leurs préoccupations, ils ont le sentiment que leurs gouvernements ne les écoutent pas."
Concernant les mesures restrictives croissantes imposées aux partis d'opposition, le Sénégal est devancé par le Bénin, s'en suit la Tanzanie.
Les enquêtes au titre du Round 8 de Afrobarometer ont été réalisées dans 34 pays au cours des années 2019-2021, en même temps que bon nombre de ces progrès et reculs démocratiques, et à cheval sur le début de la pandémie.
l'armée doit se tenir à l'écart de la politique
Le document fait remarquer "qu'en dépit des nombreux efforts déployés pour affaiblir les normes et les libertés démocratiques, les citoyens continuent d'y adhérer. Ils estiment que l'armée doit se tenir à l'écart de la politique, que les partis politiques doivent rivaliser librement pour conquérir le pouvoir, que les élections sont un outil imparfait mais essentiel pour choisir leurs dirigeants et qu'il est temps que les les vieillards qui s'accrochent au pouvoir se retirer."
Par contre, il s'avère que la réalité politique est souvent "en deçà de ces aspirations : C'est souvent l'offre de la démocratie qui laisse à désirer pour les citoyens. La perception d'une corruption généralisée et qui s'aggrave est profondément corrosive, entraînant une insatisfaction croissante des citoyens à l'égard de systèmes politiques qui ne répondent pas encore à leurs aspirations à vivre dans des sociétés gouvernées de façon démocratique et responsable. Et, bien que les citoyens disposent d'une multitude de moyens pour exprimer leurs préoccupations, ils ont le sentiment que leurs gouvernements ne les écoutent pas."
Concernant les mesures restrictives croissantes imposées aux partis d'opposition, le Sénégal est devancé par le Bénin, s'en suit la Tanzanie.

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