Pour renforcer la sensibilisation contre les violences basées sur le genre (VGB), des associations tel l’Association des juristes sénégalaises (AJS), le collectif Dafadoy (ça suffit) et l’association féministe JGen ont décidé d’unir leurs forces pour mieux porter le combat.
« Notre objectif, c’est de réunir nos forces pour pouvoir travailler davantage sur des méthodes innovantes et efficaces pour renforcer le plaidoyer contre la violence faite aux femmes », a déclaré Aminata Fall Niang, présidente de l’AJS, à l’Aps, en marge d’un atelier de plaidoyer et de renforcement de capacités sur les violences sexuelles au Sénégal.
Elle a également fait savoir que les causes des violences basées sur le genre sont multiples et le rôle des associations est de renforcer la sensibilisation à travers des actions de communication et de plaidoyer.
Selon la présidente de l’AJS, qui se référant à la dernière enquête de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (l’ANSD) de novembre 2024, souligne que plus de « 15 % de femmes sont aujourd’hui victimes de violence ou ont connu des violences au moins une fois dans leur vie ».
Pour mettre un terme à ces violences, ces associations plaident pour l’application de lois répressives ainsi que leur vulgarisation.
« Notre objectif, c’est de réunir nos forces pour pouvoir travailler davantage sur des méthodes innovantes et efficaces pour renforcer le plaidoyer contre la violence faite aux femmes », a déclaré Aminata Fall Niang, présidente de l’AJS, à l’Aps, en marge d’un atelier de plaidoyer et de renforcement de capacités sur les violences sexuelles au Sénégal.
Elle a également fait savoir que les causes des violences basées sur le genre sont multiples et le rôle des associations est de renforcer la sensibilisation à travers des actions de communication et de plaidoyer.
Selon la présidente de l’AJS, qui se référant à la dernière enquête de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (l’ANSD) de novembre 2024, souligne que plus de « 15 % de femmes sont aujourd’hui victimes de violence ou ont connu des violences au moins une fois dans leur vie ».
Pour mettre un terme à ces violences, ces associations plaident pour l’application de lois répressives ainsi que leur vulgarisation.
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