En conférence de presse ce lundi, le Regroupement des Taxis Urbains du Sénégal a lancé un appel à la mobilisation générale devant le tribunal de Dakar, le 23 juillet prochain, date prévue pour la délibération de leur procès contre les plateformes de Véhicules de Transport avec Chauffeur (VTC), telles que Yango, Yassir et Heetch. Le collectif accuse ces entreprises de concurrence déloyale et exhorte les autorités à prendre des mesures fermes.
« Le secteur du transport au Sénégal est régi par des lois et règlements bien établis. Pourtant, on a vu des plateformes s’installer au Sénégal et favoriser l’utilisation de véhicules particuliers à des fins de transport public, ce qui est en totale violation de la réglementation en vigueur. Pour nous, il s’agit d’un transport irrégulier, donc illégal, et cela constitue une forme de concurrence déloyale », a déclaré Malick Diop, secrétaire général du regroupement.
Il appelle le gouvernement à agir avec fermeté : « Il est temps que l’État prenne ses responsabilités et applique la loi. Nous sommes à bout, et nous ne voulons pas être contraints de passer à une autre forme d’action ».
S’agissant du procès en cours contre les plateformes VTC, Malick Diop se montre confiant : « La justice doit faire son travail. Aujourd’hui, nous faisons face à d’énormes difficultés. Nos revenus s’effondrent à cause de cette concurrence imposée par de grandes multinationales. Nous espérons que le 23 juillet, le droit sera dit ».
« Le secteur du transport au Sénégal est régi par des lois et règlements bien établis. Pourtant, on a vu des plateformes s’installer au Sénégal et favoriser l’utilisation de véhicules particuliers à des fins de transport public, ce qui est en totale violation de la réglementation en vigueur. Pour nous, il s’agit d’un transport irrégulier, donc illégal, et cela constitue une forme de concurrence déloyale », a déclaré Malick Diop, secrétaire général du regroupement.
Il appelle le gouvernement à agir avec fermeté : « Il est temps que l’État prenne ses responsabilités et applique la loi. Nous sommes à bout, et nous ne voulons pas être contraints de passer à une autre forme d’action ».
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