«Nous n’étions pas présents en tant que président du groupe parlementaire de l’opposition. La raison est simple, nous avons été convoqués tardivement. C’est à 13 heures qu’ils ont appelé notre assistante pour passer récupérer l’invitation. On devait nous apporter l’invitation et ne pas attendre le jour J pour le faire ». Ces propos sont de Modou Diagne Fada qui déplorait la manière avec laquelle il a été invité au dialogue national convoqué par le chef de l’Etat Macky Sall.
Selon lui, le dialogue devrait s’inscrire dans l’ordre normale d’un pays comme le Sénégal «qui se targue d’être une grande démocratie. Mais : «malheureusement tel n’est pas le cas. Nous sommes pour un dialogue mais, mais pas de compromission. Personne ne doit obliger personne à se compromettre ou renier ses convictions. Dès l’instant que la compromission est en l’air, nous prenons nos réserves», soutient-il.
Revenant sur l’affaire Karim Wade, le président du Conseil départemental de Kébémer n’oppose aucune objection quant à sa libération d’autant plus qu’il affirme avoir déjà décrié les conditions de sa détention. D’ailleurs, informe-t-il «si sa libération intervient à partir de solutions à partir de solutions politiques, il n’y a pas de problème. Car l’lorsqu’un problème politique se pose, on lui trouve une solution politique, cela ne nous émeut pas».
La situation de l’école sénégalaise n’a pas été occultée dans les débats. Et c’est l’occasion pour le réformateur d’appeler gouvernement et enseignants à faire preuve de patriotisme : «la situation est en train d’empirer car le gouvernement a fait des réquisitions. Certains enseignants ont accepté et d’autres ont refusé. Nous ne savons pas où ce combat va nous mener, mais nous comptons sur la fibre patriotique pour que cette situation cesse afin de permettre aux élèves de faire leurs examens, terminer leur composition».
Le but de cette rencontre a permis, selon le natif de Darou Mouhty d’aborder : «les cotisations des membres qui sont dans différentes instances de même que notre prochaine affiliation aux instances de l’internationale libérale et l’instance des jeunesses libérales».
Selon lui, le dialogue devrait s’inscrire dans l’ordre normale d’un pays comme le Sénégal «qui se targue d’être une grande démocratie. Mais : «malheureusement tel n’est pas le cas. Nous sommes pour un dialogue mais, mais pas de compromission. Personne ne doit obliger personne à se compromettre ou renier ses convictions. Dès l’instant que la compromission est en l’air, nous prenons nos réserves», soutient-il.
Revenant sur l’affaire Karim Wade, le président du Conseil départemental de Kébémer n’oppose aucune objection quant à sa libération d’autant plus qu’il affirme avoir déjà décrié les conditions de sa détention. D’ailleurs, informe-t-il «si sa libération intervient à partir de solutions à partir de solutions politiques, il n’y a pas de problème. Car l’lorsqu’un problème politique se pose, on lui trouve une solution politique, cela ne nous émeut pas».
La situation de l’école sénégalaise n’a pas été occultée dans les débats. Et c’est l’occasion pour le réformateur d’appeler gouvernement et enseignants à faire preuve de patriotisme : «la situation est en train d’empirer car le gouvernement a fait des réquisitions. Certains enseignants ont accepté et d’autres ont refusé. Nous ne savons pas où ce combat va nous mener, mais nous comptons sur la fibre patriotique pour que cette situation cesse afin de permettre aux élèves de faire leurs examens, terminer leur composition».
Le but de cette rencontre a permis, selon le natif de Darou Mouhty d’aborder : «les cotisations des membres qui sont dans différentes instances de même que notre prochaine affiliation aux instances de l’internationale libérale et l’instance des jeunesses libérales».
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