Pour lui, il y a eu beaucoup d’avancée dans le domaine de la création des organes de presse. « De quelques rares feuilles en 2000, il y a, à présent, foison de journaux quotidiens, hebdomadaires, manuels ».
Il signale qu’en même que « le ton en permanence agressif dénote une période d’apprentissage », du côté des professionnels des médias.
Me Wade a également fait part de la réticence des députés à adopter le projet de code consensuel de la presse qui « ne rencontre pas l’assentiment des députés à cause du principe de la dépénalisation des délits de presse » qu’il y avait introduit.
Il promet : « Nous allons devoir avancer car c’est la seule clause qui empêche l’adoption du texte ». Dans le camp gouvernemental, « le projet a été adopté en Conseil des ministre, mais le gouvernement tente de convaincre l’Assemblée nationale qui est très réticente. Là aussi, il nous faudra avancer ». Par ailleurs, le chef de l’Etat a fait remarquer « qu’il n’y a pas de journaliste en prison au Sénégal, pas plus qu’il n’y a de détenu politique ».
En ce qui concerne les députés, Me Wade, a rappelé que les députés soutiennent la thèse : « le journaliste est un citoyen comme un autre et devrait donc répondre de ses actes, comme tout le monde, devant le tribunal pénal ».
Evoquant l’exploitation des entreprises de presse, Me Wade a souligné la demande d’amnistie fiscale émise par le patronat de presse. Le président de la République a signalé que ce secteur, « généralement croule sous les dettes et même paie difficilement ses employés ».
Il signale qu’en même que « le ton en permanence agressif dénote une période d’apprentissage », du côté des professionnels des médias.
Me Wade a également fait part de la réticence des députés à adopter le projet de code consensuel de la presse qui « ne rencontre pas l’assentiment des députés à cause du principe de la dépénalisation des délits de presse » qu’il y avait introduit.
Il promet : « Nous allons devoir avancer car c’est la seule clause qui empêche l’adoption du texte ». Dans le camp gouvernemental, « le projet a été adopté en Conseil des ministre, mais le gouvernement tente de convaincre l’Assemblée nationale qui est très réticente. Là aussi, il nous faudra avancer ». Par ailleurs, le chef de l’Etat a fait remarquer « qu’il n’y a pas de journaliste en prison au Sénégal, pas plus qu’il n’y a de détenu politique ».
En ce qui concerne les députés, Me Wade, a rappelé que les députés soutiennent la thèse : « le journaliste est un citoyen comme un autre et devrait donc répondre de ses actes, comme tout le monde, devant le tribunal pénal ».
Evoquant l’exploitation des entreprises de presse, Me Wade a souligné la demande d’amnistie fiscale émise par le patronat de presse. Le président de la République a signalé que ce secteur, « généralement croule sous les dettes et même paie difficilement ses employés ».
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