Donald Trump a accueilli jeudi, en pleine nuit, les trois Américains libérés par Pyongyang, une image forte et chargée en symboles à l'approche de sa rencontre avec le leader nord-coréen Kim Jong Un. Peu avant 3h00 du matin (07h00 GMT), le président américain et la Première dame, Melania Trump, sont montés à bord de l'avion dans lequel venaient d'arriver les trois hommes sur la base militaire d'Andrews, près de Washington, où un immense drapeau américain avait été déployé. L'avion du secrétaire d'Etat Mike Pompeo, qui a effectué son deuxième déplacement dans la capitale nord-coréenne en l'espace de quelques semaines, s'était posé peu avant. «Cela va être un moment spécial. Pour moi, cela représente quelque chose d'enthousiasmant, quelque chose de très important pour le pays», avait déclaré Donald Trump quelques heures plus tôt depuis la Maison Blanche.
Donald Trump a assuré mercredi que le lieu et la date de son sommet très attendu avec l'homme fort de Pyongyang seraient divulgués dans les jours à venir, et a précisé qu'il n'aurait pas lieu dans la Zone démilitarisée (DMZ) à la frontière entre les deux Corées. Singapour, seule autre hypothèse évoquée publiquement par Donald Trump, apparaît désormais comme la piste la plus crédible pour cette rencontre historique. «Nous aimerions faire part de notre profonde gratitude envers le gouvernement des Etats-Unis, le président Trump, le secrétaire (d'Etat) Pompeo et le peuple des Etats-Unis pour nous ramener à la maison», ont indiqué dans un communiqué transmis par le département d'Etat les trois anciens détenus en route vers Washington. «Nous remercions Dieu et toutes les familles et amis qui ont prié pour nous et pour notre retour. Que Dieu bénisse l'Amérique, la meilleure nation au monde», poursuivent-ils.
Donald Trump a assuré mercredi que le lieu et la date de son sommet très attendu avec l'homme fort de Pyongyang seraient divulgués dans les jours à venir, et a précisé qu'il n'aurait pas lieu dans la Zone démilitarisée (DMZ) à la frontière entre les deux Corées. Singapour, seule autre hypothèse évoquée publiquement par Donald Trump, apparaît désormais comme la piste la plus crédible pour cette rencontre historique. «Nous aimerions faire part de notre profonde gratitude envers le gouvernement des Etats-Unis, le président Trump, le secrétaire (d'Etat) Pompeo et le peuple des Etats-Unis pour nous ramener à la maison», ont indiqué dans un communiqué transmis par le département d'Etat les trois anciens détenus en route vers Washington. «Nous remercions Dieu et toutes les familles et amis qui ont prié pour nous et pour notre retour. Que Dieu bénisse l'Amérique, la meilleure nation au monde», poursuivent-ils.
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