«100 questions de femmes», le livre de Cheikh Atab Badji lancé ce matin est une pierre posée dans l’édifice de la lutte contre la mortalité infantile et maternelle. En effet, avec ce bouquin qui a vu sa version audiovisuelle mise à la disposition des couples, le gynécologue vient renforcer les ménages sénégalais avec un nouvel outil de connaissance pour lutter contre ce fléau qui gangrène notre société.
«Cet ouvrage entre dans deux rubriques. La première entre dans le cadre de la lutte contre la mortalité maternelle qui relève plus d’un manque d’information. Toutes les grandes causes que l’on invoque, que cela soit l’hémorragie ou l’infection, relèvent le plus souvent d’un manque de connaissance, lequel manque de connaissance est lié à un défaut de communication», a-t-il déclaré.
Poursuivant, l’obstétricien déclare : «Deuxièmement, il est temps que l’on change de paradigme. Que l’on aille vers la démocratisation du savoir. Pour développer un pays il faut deux choses : l’avoir et le savoir. Il faut essayer de faire de telle sorte que ceux qui détiennent le capital savoir puissent le porter pour que le grand public puisse lui aussi, en disposer».
Selon lui, le livre est utile à toutes les couches de la population : «C’est un livre qui peut être utile au jeune couple marié parce que les questions de reproduction maternelle étaient gérées par nos grand-mères et nos mères. Mais avec la modernité, les gens ont de plus en plus tendance à vivre dans des espaces réduits, des appartements, avec leur femme. Donc j’ai pensé que ce serait bien que les maris puissent être impliqués dans ces questions. C’est pourquoi «100 questions de femmes» est en fait un livre pour les hommes», a-t-il conclu.
«Cet ouvrage entre dans deux rubriques. La première entre dans le cadre de la lutte contre la mortalité maternelle qui relève plus d’un manque d’information. Toutes les grandes causes que l’on invoque, que cela soit l’hémorragie ou l’infection, relèvent le plus souvent d’un manque de connaissance, lequel manque de connaissance est lié à un défaut de communication», a-t-il déclaré.
Poursuivant, l’obstétricien déclare : «Deuxièmement, il est temps que l’on change de paradigme. Que l’on aille vers la démocratisation du savoir. Pour développer un pays il faut deux choses : l’avoir et le savoir. Il faut essayer de faire de telle sorte que ceux qui détiennent le capital savoir puissent le porter pour que le grand public puisse lui aussi, en disposer».
Selon lui, le livre est utile à toutes les couches de la population : «C’est un livre qui peut être utile au jeune couple marié parce que les questions de reproduction maternelle étaient gérées par nos grand-mères et nos mères. Mais avec la modernité, les gens ont de plus en plus tendance à vivre dans des espaces réduits, des appartements, avec leur femme. Donc j’ai pensé que ce serait bien que les maris puissent être impliqués dans ces questions. C’est pourquoi «100 questions de femmes» est en fait un livre pour les hommes», a-t-il conclu.
Autres articles
-
Retrait de Netflix de ses offres : le CNRA accorde une prolongation à Canal+Sénégal
-
Enseignement supérieur : le Professeur Massamba Diouf reconduit à la tête d’instances africaines de l’assurance qualité
-
Tournée économique du Président Diomaye : les fortes attentes des populations du Fouladou
-
Affaire de terrorisme : Cheikh Alassane Sène acquitté, Salif Hamady Ba condamné à trois ans de prison ferme
-
Éducation : le Président Bassirou Diomaye Faye crée les Inspections d’Académie de Podor et de Mbour




Retrait de Netflix de ses offres : le CNRA accorde une prolongation à Canal+Sénégal


