«Le Sels authentique dénonce avec la dernière énergie le comportement de l’Etat du Sénégal par rapport à la gestion du baccalauréat ». Ces propos sont d’Abdou Faty lors d’une rencontre à Kaolack avec ses camarades où il a déploré le comportement de l’Etat à leur égard.
Selon lui, cette posture des autorités étatiques démontrent un «profond manque de respect» à leur égard, d’autant plus que, assure-t-il, les professeurs avec qui ils étaient en correction, sont déjà rentrés dans leurs fonds. Ce qui pourrait avoir des conséquences sur les prochaines épreuves.
En effet, le syndicaliste a appelé ses collègues enseignants à «prendre leurs dispositions pour que si ce problème perdure, dès l’année prochaine, que personne n’aille surveiller le baccalauréat».
Poursuivant, il s’est interrogé sur «les tergiversations de l’Etat par rapport au règlement définitif des classes multigrades et classes spéciales », d’où son appel à ses camarades à «organiser partout des assemblées générales, d’apprécier la situation de s’inscrire dans une journée de lutte. Et si rien n’est fait, l’année prochaine, que personne ne prenne une classe multigrade ou classe spéciale».
Dans un autre registre, M. Faty a appelé les populations à être plus vigilantes «sur ce qui se fait dans certains département comme Mbacké où l’Etat refuse de recruter des enseignants et prend des éléments qui ont des Bfem douteux pour dispenser des enseignements à raison 25 000 à 30 000 francs Cfa. C’est irresponsable».
Selon lui, cette posture des autorités étatiques démontrent un «profond manque de respect» à leur égard, d’autant plus que, assure-t-il, les professeurs avec qui ils étaient en correction, sont déjà rentrés dans leurs fonds. Ce qui pourrait avoir des conséquences sur les prochaines épreuves.
En effet, le syndicaliste a appelé ses collègues enseignants à «prendre leurs dispositions pour que si ce problème perdure, dès l’année prochaine, que personne n’aille surveiller le baccalauréat».
Poursuivant, il s’est interrogé sur «les tergiversations de l’Etat par rapport au règlement définitif des classes multigrades et classes spéciales », d’où son appel à ses camarades à «organiser partout des assemblées générales, d’apprécier la situation de s’inscrire dans une journée de lutte. Et si rien n’est fait, l’année prochaine, que personne ne prenne une classe multigrade ou classe spéciale».
Dans un autre registre, M. Faty a appelé les populations à être plus vigilantes «sur ce qui se fait dans certains département comme Mbacké où l’Etat refuse de recruter des enseignants et prend des éléments qui ont des Bfem douteux pour dispenser des enseignements à raison 25 000 à 30 000 francs Cfa. C’est irresponsable».
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