La disparition annoncée de Thomas Cook est un choc à Enfidha, où la compagnie du voyagiste est le plus important pourvoyeur de touristes. Un avion affrété par le gouvernement britannique a rapatrié lundi plusieurs dizaines de ses ressortissants. Omar, 35 ans, était venu profiter du soleil avec sa compagne.
« On était censé être sur notre vol pour Manchester il y a deux heures. Malheureusement c’est un avion plus petit qui est arrivé. L’absence de communication et l’incompréhension en raison de la barrière des langues ont entraîné beaucoup de frustration », confie-t-il.
Un sentiment partagé par Chris, la vingtaine, originaire de Cumbria : « On devait avoir un vol pour rentrer aujourd’hui. Maintenant, on est là et personne ne sait ce qu’il se passe. On reste un jour de plus, on espère qu’ils vont payer pour quelques jours de plus au soleil. Il vaut mieux le prendre du bon côté. Tout le monde crie et hurle et personne ne sait ce qu’il se passe ni où on va, et on ne sait même pas à qui se plaindre. »
Thomas Cook travaille en Tunisie avec plus de 300 établissements hôteliers et les impayés des mois de juin et juillet s’élèveraient déjà à plusieurs dizaines de millions d’euros. Beaucoup d’inquiétude donc en ce moment dans le secteur touristique tunisien, car si les factures restaient impayées, des milliers de travailleurs seraient directement touchés et des hôtels pourraient ne pas s’en relever.
L’hôtel Royal Horizon Baobab, situé à La Somone, sur la Petite-Côte, est un partenaire de longue date du voyagiste britannique. Les touristes qui devaient arriver lundi 23 septembre ont suspendu leur voyage. Pour ceux qui vivent du tourisme dans le village, commerçants et artisans, il faudra désormais faire sans ces clients européens.
« On était censé être sur notre vol pour Manchester il y a deux heures. Malheureusement c’est un avion plus petit qui est arrivé. L’absence de communication et l’incompréhension en raison de la barrière des langues ont entraîné beaucoup de frustration », confie-t-il.
Un sentiment partagé par Chris, la vingtaine, originaire de Cumbria : « On devait avoir un vol pour rentrer aujourd’hui. Maintenant, on est là et personne ne sait ce qu’il se passe. On reste un jour de plus, on espère qu’ils vont payer pour quelques jours de plus au soleil. Il vaut mieux le prendre du bon côté. Tout le monde crie et hurle et personne ne sait ce qu’il se passe ni où on va, et on ne sait même pas à qui se plaindre. »
Thomas Cook travaille en Tunisie avec plus de 300 établissements hôteliers et les impayés des mois de juin et juillet s’élèveraient déjà à plusieurs dizaines de millions d’euros. Beaucoup d’inquiétude donc en ce moment dans le secteur touristique tunisien, car si les factures restaient impayées, des milliers de travailleurs seraient directement touchés et des hôtels pourraient ne pas s’en relever.
L’hôtel Royal Horizon Baobab, situé à La Somone, sur la Petite-Côte, est un partenaire de longue date du voyagiste britannique. Les touristes qui devaient arriver lundi 23 septembre ont suspendu leur voyage. Pour ceux qui vivent du tourisme dans le village, commerçants et artisans, il faudra désormais faire sans ces clients européens.
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