
Après l’assassinat du secrétaire général de l’Inspection départementale de l’éducation nationale, Emmanuel Diagne à Edioungou, à l’entrée d’Oussouye dans la nuit du mercredi, les éléments du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) ont encore fait parler d’eux. En effet, ils ont encore abattu un soldat de l’armée sénégalaise à Batuka Camara Kunda ce vendredi vers 8h. C’est lors d’une patrouille d’une unité de l’armée que ces hommes armés ont ouvert le feu sur le soldat Jérôme Diatta qui a été sévèrement blessé. Il a finalement rendu l’âme avant d’arriver à la première structure de santé de la localité.
L’assassinat du soldat, Jérôme Diatta par des éléments supposés appartenir au MFDC a coïncidé avec la vite du Chef d’état major général des armées (CEMGA), le général de corps d’armée, Abdoulaye Fall.
Il vient, par ailleurs, allongé la longue liste des militaires tués par des hommes armés depuis le mois de juillet dernier où il a été noté une recrudescence de la violence en Casamance. Société civile, aile politique du MFDC, les cadres, jeunes, hommes et femmes ne cessent d’appeler à l’ouverture de négociation pour juguler cette violence qui continue à faire beaucoup de victimes. Les accords de paix signés le 30 décembre 2004 n’ont plus d’effet et les négociations qui ont été entamées à Foundiougne en février 2005 sont au point mort.
Rappelons, en outre, que cette zone de la Casamance fait partie des plus dangereuses. Elle avait fait l’objet de nettoyage en 2007 par l’armée sénégalaise avec l’appui des forces militaires du Maroc.
L’assassinat du soldat, Jérôme Diatta par des éléments supposés appartenir au MFDC a coïncidé avec la vite du Chef d’état major général des armées (CEMGA), le général de corps d’armée, Abdoulaye Fall.
Il vient, par ailleurs, allongé la longue liste des militaires tués par des hommes armés depuis le mois de juillet dernier où il a été noté une recrudescence de la violence en Casamance. Société civile, aile politique du MFDC, les cadres, jeunes, hommes et femmes ne cessent d’appeler à l’ouverture de négociation pour juguler cette violence qui continue à faire beaucoup de victimes. Les accords de paix signés le 30 décembre 2004 n’ont plus d’effet et les négociations qui ont été entamées à Foundiougne en février 2005 sont au point mort.
Rappelons, en outre, que cette zone de la Casamance fait partie des plus dangereuses. Elle avait fait l’objet de nettoyage en 2007 par l’armée sénégalaise avec l’appui des forces militaires du Maroc.
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