L’annonce a été faite lors de la cérémonie de lancement du projet: «Lutte contre l’exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales au Sénégal». Ledit projet concerne les zones de Dakar et de Mbour.
«C’est un projet qui va intervenir au niveau de trois (3) axes notamment la prévention, la protection après la prise en charge des cas mais aussi la réinsertion sociale des enfants victimes, à travers également d’autres axes que sont les renforcements des capacités des acteurs, la capitalisation des suivis et le suivi-évaluation», décline le Directeur des Droits de Protection de l'Enfance et des Groupes vulnérables.
Niokhobaye Diouf parle d’«un phénomène social qui se passe pratiquement tous les jours au sein des familles, dans les institutions d’apprentissage, dans la rue». «Nous sommes confrontés à ce fléau et ce projet vient à son heure pour apporter des solutions idoines», soutient-il.
Indiquant qu’«il est très difficile d’avoir des statistiques nationales, nous avons des données éparses», le Directeur des Droits de Protection de l'Enfance et des Groupes vulnérables d’affirmer: «Nous avons entre 250 et 500 enfants victimes d’abus et d’exploitation sexuelle aujourd’hui».
«Ce qui est sûr, c’est que les chiffres que nous avons comparait à la réalité, sont exorbitants. Il faut considérer que c’est un phénomène qui est là, alarmant qu’il faudra combattre», précise-t-il toutefois.
«C’est un projet qui va intervenir au niveau de trois (3) axes notamment la prévention, la protection après la prise en charge des cas mais aussi la réinsertion sociale des enfants victimes, à travers également d’autres axes que sont les renforcements des capacités des acteurs, la capitalisation des suivis et le suivi-évaluation», décline le Directeur des Droits de Protection de l'Enfance et des Groupes vulnérables.
Niokhobaye Diouf parle d’«un phénomène social qui se passe pratiquement tous les jours au sein des familles, dans les institutions d’apprentissage, dans la rue». «Nous sommes confrontés à ce fléau et ce projet vient à son heure pour apporter des solutions idoines», soutient-il.
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