La Cosydep est toujours dans sa logique d’élaborer un plan stratégique 2018-2021. C’est dans ce sens que son coordonnateur national a entamé une tournée nationale pour s’entretenir avec les différents acteurs évoluant le secteur de l’éducation.
Mais, à Fatick où il était ce vendredi 9 novembre, ces derniers ont soulevé les problèmes qui gangrènent l’éducation dans leur région, notamment avec la question des abris provisoires qui est toujours d’actualité. Car, relèvent-ils, les efforts consentis dans ce secteur tournant autour de 400 milliards de francs Cfa par an depuis plus de 15 ans, les écoles demeurent insuffisants pour régler le problème.
«Il y a évidemment des préoccupations largement partagées liées d’abord à l’environnement des apprentissages», a déclaré Cheikh Mbow. Avant d’expliquer ces questions soulevées concernent notamment l’environnement, la «fameuse question liée aux abris provisoire (qui) restent reste une question qui traverse toutes les régions.»
«Nous pensons qu’il faut faire en sorte que l’environnement des apprentissages réponde à un minimum qui permet de booster la qualité en termes d’écoles clôturées, de disponibilité de l’eau, d’électricité», a-t-il fait savoir.
M. Mbow d’ajouter : «l’autre question qui revient sur la table est liée à la crise des performances. Nous avons un système éducatif qui investit beaucoup, plus de 400 milliards par an, depuis plus de 15 ans ».
A l’en croire, le 3e et non moins important défi est lié à l’implication des communautés. Car, avoir en 2018 1,5 millions d’enfants hors-école est «inacceptable», relève-t-il.
Mais, à Fatick où il était ce vendredi 9 novembre, ces derniers ont soulevé les problèmes qui gangrènent l’éducation dans leur région, notamment avec la question des abris provisoires qui est toujours d’actualité. Car, relèvent-ils, les efforts consentis dans ce secteur tournant autour de 400 milliards de francs Cfa par an depuis plus de 15 ans, les écoles demeurent insuffisants pour régler le problème.
«Il y a évidemment des préoccupations largement partagées liées d’abord à l’environnement des apprentissages», a déclaré Cheikh Mbow. Avant d’expliquer ces questions soulevées concernent notamment l’environnement, la «fameuse question liée aux abris provisoire (qui) restent reste une question qui traverse toutes les régions.»
«Nous pensons qu’il faut faire en sorte que l’environnement des apprentissages réponde à un minimum qui permet de booster la qualité en termes d’écoles clôturées, de disponibilité de l’eau, d’électricité», a-t-il fait savoir.
M. Mbow d’ajouter : «l’autre question qui revient sur la table est liée à la crise des performances. Nous avons un système éducatif qui investit beaucoup, plus de 400 milliards par an, depuis plus de 15 ans ».
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