Selon les dernières estimations mondiales datant de l’année 2020. Ils sont « 160 millions d’enfants dans le monde, 63 millions de filles et 97 millions de garçons astreints au travail (…), soit près d’un enfant sur 10 à l’échelle mondiale. De plus, 79 millions d’enfants près de la moitié de tous ceux qui étaient astreints au travail des enfants, effectuaient des travaux dangereux mettant directement en péril leur santé, leur sécurité et leur développement moral ». D’après l’Unicef et l’Oit de telles pratiques portent atteinte à la vie des enfants.
S’inspirant ces chiffres et des cas évoqués, le Sénégal s’engage à prendre à bras le corps l’éradication du travail des enfants. Qui, selon le conseiller technique au ministère du travail, du dialogue social et des relations avec les institutions, Babacar Mbodji prive aux enfants des droits fondamentaux comme l’éducation. Ce qui les place dans une marginalisation. « La ratification de la Convention numéro 138 sur l’âge minimum d’admission à l’emploi de 1973 et la Convention numéro 182 relative aux pires formes de travail des enfants de 1999, respectivement intervenue en décembre 1999 et juin 2000 a constitué un tournant décisif dans la longue marche vers l’élimination des pires formes de travail des enfants au Sénégal (…). Le Sénégal a initié des consultations nationales réunissant l’ensemble des intervenants pour l’élimination des pires formes de travail des enfants », a rappelé Monsieur Mbodji.
Cependant, conclut le rapport de l’Unicef et de l’Oit. Des progrès constants ont été enregistrés au cours des quatre dernières années en ce qui concerne les enfants âgés de 12 à 14 ans et de 15 à 17 ans.
S’inspirant ces chiffres et des cas évoqués, le Sénégal s’engage à prendre à bras le corps l’éradication du travail des enfants. Qui, selon le conseiller technique au ministère du travail, du dialogue social et des relations avec les institutions, Babacar Mbodji prive aux enfants des droits fondamentaux comme l’éducation. Ce qui les place dans une marginalisation. « La ratification de la Convention numéro 138 sur l’âge minimum d’admission à l’emploi de 1973 et la Convention numéro 182 relative aux pires formes de travail des enfants de 1999, respectivement intervenue en décembre 1999 et juin 2000 a constitué un tournant décisif dans la longue marche vers l’élimination des pires formes de travail des enfants au Sénégal (…). Le Sénégal a initié des consultations nationales réunissant l’ensemble des intervenants pour l’élimination des pires formes de travail des enfants », a rappelé Monsieur Mbodji.
Cependant, conclut le rapport de l’Unicef et de l’Oit. Des progrès constants ont été enregistrés au cours des quatre dernières années en ce qui concerne les enfants âgés de 12 à 14 ans et de 15 à 17 ans.
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