Le chef de l’Etat a fait face aux journalistes après son discours à la nation pour le nouvel an pour répondre aux questions qui préoccupent les Sénégalais. A l’occasion, Macky Sall a annoncé l’effacement de la dette due aux établissements privés d’ici 6 mois, en juin 2019.
Le président de la République précise d’emblée que : «l’inscription de ces étudiants (nouveaux bacheliers non orientés dans les universités publiques, ndlr), dans le privé n’était pas une obligation, c’est une option sociale pour permettre à ces bacheliers de poursuivre leurs études».
S’agissant de la dette due aux établissements privés à hauteur de 2 milliards de F Cfa, le chef de l’Etat d’informer: «Nous avons mis un échéancier pour résorber le gap et d’ici la fin du moins de juin 2019, y aura une loi rectificative qui va prendre cela en charge».
A l’en croire, c’est en voulant faire un bon geste envers les étudiants que l’Etat fait face, mais malheureusement à toutes ces difficultés.
«C’est par compassion et parce que nous avons une politique sociale qu’en 2016 j’ai décidé de prendre en charge le surplus des étudiants non orientés dans les universités publiques pour les mettre dans les universités privés reconnues par le Cames », souligne-t-il.
Avant d’expliquer les raisons de ce retard de paiement de la dette aux universités privées : «En 2014, le nombre a considérablement augmenté passant de 5000, 6000 à 15 000 voire 20 000 d’étudiants et le budget ne pouvait pas les prendre en charge parce qu’il était seulement prévu pour 5000 étudiants».
Le président de la République précise d’emblée que : «l’inscription de ces étudiants (nouveaux bacheliers non orientés dans les universités publiques, ndlr), dans le privé n’était pas une obligation, c’est une option sociale pour permettre à ces bacheliers de poursuivre leurs études».
S’agissant de la dette due aux établissements privés à hauteur de 2 milliards de F Cfa, le chef de l’Etat d’informer: «Nous avons mis un échéancier pour résorber le gap et d’ici la fin du moins de juin 2019, y aura une loi rectificative qui va prendre cela en charge».
A l’en croire, c’est en voulant faire un bon geste envers les étudiants que l’Etat fait face, mais malheureusement à toutes ces difficultés.
«C’est par compassion et parce que nous avons une politique sociale qu’en 2016 j’ai décidé de prendre en charge le surplus des étudiants non orientés dans les universités publiques pour les mettre dans les universités privés reconnues par le Cames », souligne-t-il.
Avant d’expliquer les raisons de ce retard de paiement de la dette aux universités privées : «En 2014, le nombre a considérablement augmenté passant de 5000, 6000 à 15 000 voire 20 000 d’étudiants et le budget ne pouvait pas les prendre en charge parce qu’il était seulement prévu pour 5000 étudiants».
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