Ce lundi, Donald Trump devient officiellement le 47ᵉ président des États-Unis. Et le 46ᵉ président, Joe Biden, a tout fait tout pour protéger les ennemis du milliardaire de son courroux : ce lundi, à midi heure locale, Joe Biden a accordé, lundi 20 janvier, une série de grâces préventives à des élus ou des fonctionnaires.
Quelques heures avant de céder le pouvoir à Donald Trump, Joe Biden a frustré lundi 20 janvier son successeur d'une possible revanche personnelle en graciant préventivement des élus ou des fonctionnaires pour les protéger de « poursuites judiciaires injustifiées et politiquement motivées. » Parmi eux : l'ancien chef d'état-major des armées, le général Mark Milley, et l'ex-architecte de la stratégie de la Maison Blanche contre le Covid-19, le docteur Anthony Fauci. L'ancienne parlementaire républicaine Liz Cheney en fait également partie, comme tous les élus et fonctionnaires ayant participé à la commission d'enquête sur l'assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump le 6 janvier 2021. Les policiers ayant témoigné devant cette commission sont aussi concernés par ces grâces.
« Je crois en l'État de droit et je suis sûr que la solidité de notre système judiciaire finira par s'imposer face aux débats politiciens. Mais nous vivons dans des circonstances exceptionnelles et je ne peux pas, en bonne conscience, ne rien faire », explique dans un communiqué le président démocrate sortant, 82 ans, pour justifier une initiative exceptionnelle. « De manière inquiétante, des serviteurs de l'État ont fait l'objet de menaces et d'intimidations pour avoir rempli fidèlement leurs charges », a déclaré Joe Biden. « Certains ont même été menacés de poursuites judiciaires », a-t-il précisé.
Le président sortant a par ailleurs gracié cinq membres de sa famille quelques minutes avant de céder le pouvoir. « Ma famille a été visée par des attaques et des menaces incessantes, motivées par le seul désir de m'atteindre - la pire sorte de politique partisane. Malheureusement, je n'ai aucune raison de penser que ces attaques vont s'arrêter », a expliqué dans un communiqué Joe Biden.
Quelques heures avant de céder le pouvoir à Donald Trump, Joe Biden a frustré lundi 20 janvier son successeur d'une possible revanche personnelle en graciant préventivement des élus ou des fonctionnaires pour les protéger de « poursuites judiciaires injustifiées et politiquement motivées. » Parmi eux : l'ancien chef d'état-major des armées, le général Mark Milley, et l'ex-architecte de la stratégie de la Maison Blanche contre le Covid-19, le docteur Anthony Fauci. L'ancienne parlementaire républicaine Liz Cheney en fait également partie, comme tous les élus et fonctionnaires ayant participé à la commission d'enquête sur l'assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump le 6 janvier 2021. Les policiers ayant témoigné devant cette commission sont aussi concernés par ces grâces.
« Je crois en l'État de droit et je suis sûr que la solidité de notre système judiciaire finira par s'imposer face aux débats politiciens. Mais nous vivons dans des circonstances exceptionnelles et je ne peux pas, en bonne conscience, ne rien faire », explique dans un communiqué le président démocrate sortant, 82 ans, pour justifier une initiative exceptionnelle. « De manière inquiétante, des serviteurs de l'État ont fait l'objet de menaces et d'intimidations pour avoir rempli fidèlement leurs charges », a déclaré Joe Biden. « Certains ont même été menacés de poursuites judiciaires », a-t-il précisé.
Le président sortant a par ailleurs gracié cinq membres de sa famille quelques minutes avant de céder le pouvoir. « Ma famille a été visée par des attaques et des menaces incessantes, motivées par le seul désir de m'atteindre - la pire sorte de politique partisane. Malheureusement, je n'ai aucune raison de penser que ces attaques vont s'arrêter », a expliqué dans un communiqué Joe Biden.
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