Dans le cadre d’un atelier de partage des résultats de l’évaluation externe de la qualité (EEQ) des analyses bactériologiques et parasitologues, le Professeur Babacar Faye, chef de service parasitologie à la faculté de médecine de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, est revenu sur l’importance de cette évaluation. Selon lui, cette évaluation, réalisée pour la deuxième année consécutive, vise à identifier et à surmonter les défis rencontrés par les laboratoires d'analyses et les structures sanitaires.
Professeur Babacar Faye, chef de service parasitologie à la faculté de médecine de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, affirme que cette évaluation permettrait de mieux cerner les difficultés des laboratoires et des centres hospitaliers : « On est à notre deuxième édition puisqu’en 2021, une première évaluation avait été faite et nous avons relevé quelques laboratoires qui avaient des difficultés », a-t-il rappelé, ce lundi, lors d’un atelier de partage des résultats de l’évaluation externe de la qualité (EEQ) des analyses bactériologiques et parasitologues.
« Nous les avons accompagnés dans le cadre d’une formation post évaluation qui s’était déroulée pendant une semaine et cela a permis de relever le niveau, la qualité de ces laboratoires et nous l’avons senti quand on a effectué l’évaluation de cette année-ci », a-t-il ajouté.
Le chef de service parasitologie à la faculté de médecine de l’UCAD a également mis l’accent sur certaines difficultés que rencontrent certains laboratoires. « Un déficit de moyen en termes d’équipements, vous savez la biologie évolue très rapidement, les appareils et équipements utilisés évoluent d’une année à l’autre très rapidement et nous allons essayer de suivre cette évolution », a souligné le Professeur Faye.
Il a annoncé une amélioration des capacités afin de permettre aux laboratoires à répondre aux normes.
« Très souvent, ce n’est pas encore le cas, mais des actions seront menées régulièrement ; et avec la direction des laboratoires qui accompagnent beaucoup de ces structures sanitaires des équipements sont donnés à celles-ci, des efforts sont en train d’être fait pour permettre à ces laboratoires de répondre aux normes d’un laboratoire digne de ce nom », a affirmé Professeur Babacar Faye.
Selon lui, « l’évaluation de cette année a eu un bon qualitatif non-négligeable au niveau des structures de santé ».
Professeur Babacar Faye, chef de service parasitologie à la faculté de médecine de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, affirme que cette évaluation permettrait de mieux cerner les difficultés des laboratoires et des centres hospitaliers : « On est à notre deuxième édition puisqu’en 2021, une première évaluation avait été faite et nous avons relevé quelques laboratoires qui avaient des difficultés », a-t-il rappelé, ce lundi, lors d’un atelier de partage des résultats de l’évaluation externe de la qualité (EEQ) des analyses bactériologiques et parasitologues.
« Nous les avons accompagnés dans le cadre d’une formation post évaluation qui s’était déroulée pendant une semaine et cela a permis de relever le niveau, la qualité de ces laboratoires et nous l’avons senti quand on a effectué l’évaluation de cette année-ci », a-t-il ajouté.
Le chef de service parasitologie à la faculté de médecine de l’UCAD a également mis l’accent sur certaines difficultés que rencontrent certains laboratoires. « Un déficit de moyen en termes d’équipements, vous savez la biologie évolue très rapidement, les appareils et équipements utilisés évoluent d’une année à l’autre très rapidement et nous allons essayer de suivre cette évolution », a souligné le Professeur Faye.
Il a annoncé une amélioration des capacités afin de permettre aux laboratoires à répondre aux normes.
« Très souvent, ce n’est pas encore le cas, mais des actions seront menées régulièrement ; et avec la direction des laboratoires qui accompagnent beaucoup de ces structures sanitaires des équipements sont donnés à celles-ci, des efforts sont en train d’être fait pour permettre à ces laboratoires de répondre aux normes d’un laboratoire digne de ce nom », a affirmé Professeur Babacar Faye.
Selon lui, « l’évaluation de cette année a eu un bon qualitatif non-négligeable au niveau des structures de santé ».
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