Selon une source proche du CNDD, le ministre de la défense nationale et numéro 3 de la junte Général Sékouba Konaté a approuvé, sans commenter, la démission, cette semaine, du Gouvernement de son ami et "protégé" ministre en charge de la communication à la Présidence de la République et au Ministère de la défense nationale Tibou Kamara.
Selon nos sources, le ministre de la défense nationale a appris, non sans surprise, la démission de Tibou Kamara avec qui il a fait un long séjour à l'étranger, notamment au Maroc.
A en croire nos sources, le désormais ancien ministre de la Communication a joué à la finesse pour se séparer en douceur avec le locataire de la défense nationale.
"Si l'on ne nous comprend pas, il est normal de démissionner", a lancé le 2è Vice-Président du CNND tout de suite informé de la nouvelle de démission de M. Kamara.
Pour l'information, Tibou Kamara a cotôyé la junte par l'intermédiaire du ministre de la défense nationale qui est compagnon d'armes du Président Yaya Jammeh de la Gambie, beau-frère du ministre démissionnaire.
Et le trait d'union entre Konaté et Jammeh date des années "90" au Liberia et en Sierra Léone, tous deux venus combattre sous le drapeau des forces d'interposition de la CEDEAO.
Selon nos sources, le ministre de la défense nationale a appris, non sans surprise, la démission de Tibou Kamara avec qui il a fait un long séjour à l'étranger, notamment au Maroc.
A en croire nos sources, le désormais ancien ministre de la Communication a joué à la finesse pour se séparer en douceur avec le locataire de la défense nationale.
"Si l'on ne nous comprend pas, il est normal de démissionner", a lancé le 2è Vice-Président du CNND tout de suite informé de la nouvelle de démission de M. Kamara.
Pour l'information, Tibou Kamara a cotôyé la junte par l'intermédiaire du ministre de la défense nationale qui est compagnon d'armes du Président Yaya Jammeh de la Gambie, beau-frère du ministre démissionnaire.
Et le trait d'union entre Konaté et Jammeh date des années "90" au Liberia et en Sierra Léone, tous deux venus combattre sous le drapeau des forces d'interposition de la CEDEAO.
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