Le portefeuille de la Banque Mondiale au Sénégal comprend 21 projets actifs dont six (6) régionaux avec un appui budgétaire pour un montant de 595 milliards de F CFA. Et, selon le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, «au bout de deux (2) années de mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (PSE), l’économie sénégalaise a enregistré une évolution notable. Et, la Banque Mondiale a concrétisé à hauteur de 425 milliards de F CFA, soit 85%, ses engagements financiers».
Dans ce sens, Amadou BA a soutenu que «le déficit budgétaire suit son trend
(terme anglo-saxon désignant une tendance) baissier, de 6, 7% en 2011, il a été ramené à 4,2% en 2016. Et, l’Etat a l’ambition de le contenir à 3,7% en 2017 par la poursuite de la maximisation des ressources internes et l’optimisation des ressources externes».
Même si la plupart des recommandations formulées lors des dernières revues ont été exécutées, de l'avis du ministre, force est de constater quelques contraintes qui nécessites une attention soutenue, notamment «des lenteurs dans la procédures de passation des marchés liées à la double revue des avis de non objection par la DCMP et la Banque Mondiale; des lenteurs dans la délivrance des avis de non objection; des lenteurs dans la mobilisation des fonds de contrepartie aux projets, et tant d’autres».
Mais, pour résoudre ces imperfections, la Banque Mondiale a proposé au Gouvernement du Sénégal de supprimer la double revue des dossiers qui retardait les mises en œuvre de certains projets.
Désormais, «les marchés dont le montant estimé est inférieur au seuil établi, sept (7) milliards 500 millions F CFA, ne sont plus soumis à la revue a priori par la Banque Mondiale. Les procédures nationales seront appliquées», a informé la directrice de ladite structure, Louis J. Cord.
A l'en croire, cette revue devra permettre de trouver un accord pour traiter la question des banques incapables de décaisser les sommes demandées ou celles refusant de coopérer avec les auditeurs des projets.
«La banque Mondiale s’est engagée, par la même occasion, à financer avant fin Juin 2017, de nouveaux projets à hauteur de 400 milliards de F CFa», a-t-elle conclu.
Dans ce sens, Amadou BA a soutenu que «le déficit budgétaire suit son trend
(terme anglo-saxon désignant une tendance) baissier, de 6, 7% en 2011, il a été ramené à 4,2% en 2016. Et, l’Etat a l’ambition de le contenir à 3,7% en 2017 par la poursuite de la maximisation des ressources internes et l’optimisation des ressources externes».
Même si la plupart des recommandations formulées lors des dernières revues ont été exécutées, de l'avis du ministre, force est de constater quelques contraintes qui nécessites une attention soutenue, notamment «des lenteurs dans la procédures de passation des marchés liées à la double revue des avis de non objection par la DCMP et la Banque Mondiale; des lenteurs dans la délivrance des avis de non objection; des lenteurs dans la mobilisation des fonds de contrepartie aux projets, et tant d’autres».
Mais, pour résoudre ces imperfections, la Banque Mondiale a proposé au Gouvernement du Sénégal de supprimer la double revue des dossiers qui retardait les mises en œuvre de certains projets.
Désormais, «les marchés dont le montant estimé est inférieur au seuil établi, sept (7) milliards 500 millions F CFA, ne sont plus soumis à la revue a priori par la Banque Mondiale. Les procédures nationales seront appliquées», a informé la directrice de ladite structure, Louis J. Cord.
A l'en croire, cette revue devra permettre de trouver un accord pour traiter la question des banques incapables de décaisser les sommes demandées ou celles refusant de coopérer avec les auditeurs des projets.
«La banque Mondiale s’est engagée, par la même occasion, à financer avant fin Juin 2017, de nouveaux projets à hauteur de 400 milliards de F CFa», a-t-elle conclu.
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