En réponse à certains groupes de pression qui cherchent à jeter le discrédit sur l’option stratégique de l’Etat de permettre à Air Sénégal SA d’assurer l’exploitation de la ligne Dakar-Paris-Dakar, le ministère des Transports aériens a tenu à apporter des éclairages, tout en rappelant que les relations aériennes entre le Sénégal et la France sont régies par un accord signé le 16 septembre 1974 et révisé le 20 septembre 2012.
Cet accord, précise le ministère consacre le principe de l’équilibre des capacités à raison de sept (07) fréquences par pavillon désigné sur la desserte Dakar-Paris. Et c’est dans ce cadre, la France a décidé d’attribuer à Air France ses sept fréquences en qualité de compagnie aérienne désignée.
Pour sa part, le Sénégal a décidé d’accorder ses fréquences à sa compagnie nationale; droit qu’utilisait Air Sénégal International au moment de son exploitation. Mais, c’est dans le but de maintenir un environnement compétitif et accompagner le développement du tourisme et favoriser le hub de Dakar que le Sénégal a accordé ses droits à Corsair à la condition que ceux-ci soient restitués au pavillon national dès qu’elle sera en mesure de les exploiter.
Les autorisations y afférentes étaient accordées à Corsair par saison; la dernière dans ce cadre, prenant fin le 31 janvier 2019 à minuit, telle que notifiée à la DGAC française par l’autorité de l’aviation civile sénégalaise, indique la note.
Le ministère des Transports aériens souligne que la mise en place de la compagnie nationale Air Sénégal SA a obéi à une « démarche ambitieuse, cohérente et rigoureuse » marquée par plusieurs phases entre autres. Ainsi, la compagnie qui a démarré ses vols domestiques en avril dernier avec deux (02) ATR 72-600, va lancer ses vols régionaux en octobre 2018 avec des A319.
Cet accord, précise le ministère consacre le principe de l’équilibre des capacités à raison de sept (07) fréquences par pavillon désigné sur la desserte Dakar-Paris. Et c’est dans ce cadre, la France a décidé d’attribuer à Air France ses sept fréquences en qualité de compagnie aérienne désignée.
Pour sa part, le Sénégal a décidé d’accorder ses fréquences à sa compagnie nationale; droit qu’utilisait Air Sénégal International au moment de son exploitation. Mais, c’est dans le but de maintenir un environnement compétitif et accompagner le développement du tourisme et favoriser le hub de Dakar que le Sénégal a accordé ses droits à Corsair à la condition que ceux-ci soient restitués au pavillon national dès qu’elle sera en mesure de les exploiter.
Les autorisations y afférentes étaient accordées à Corsair par saison; la dernière dans ce cadre, prenant fin le 31 janvier 2019 à minuit, telle que notifiée à la DGAC française par l’autorité de l’aviation civile sénégalaise, indique la note.
Le ministère des Transports aériens souligne que la mise en place de la compagnie nationale Air Sénégal SA a obéi à une « démarche ambitieuse, cohérente et rigoureuse » marquée par plusieurs phases entre autres. Ainsi, la compagnie qui a démarré ses vols domestiques en avril dernier avec deux (02) ATR 72-600, va lancer ses vols régionaux en octobre 2018 avec des A319.
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