«Je pose ma main sur le Saint Coran, je ne suis jamais allé me plaindre auprès d’Idrissa Seck de la participation du Pds au dialogue. Ce n’est pas ma nature. Effectivement, j’ai été chez Idrissa Seck par le fait du hasard. C’est un ami qui voulait me le présenter coute que coute après son congrès. Il m’a reçu, il m’a serré la main, il m’a parlé mis je n’ai pas placé un seul mot dans le cadre de cette rencontre », a précisé Fabouly Gaye.
Et de poursuivre : «Aller me plaindre chez Idrissa Seck relève de ma part une immaturité politique. Parce que j’ai d’autres tribunes pour le faire. Je suis secrétaire général adjoint de l’Ujtl. Je coordonne une Fédération à Kolda, j’ai des amis dans le parti. Donc s’il y a une préoccupation de cette nature, je la poserai dans le parti».
Selon lui, il n’a rien à se reprocher d’autant plus que rien ne peut lui être reproché : «Je regrette mais on n’a même pas parlé de ce sujet. Je suis à la fois déçu et très choqué par cette déclaration d’Idrissa Seck. Ma position par rapport à cette question, je l’ai posée au sein du Comité directeur et je l’assume. Je n’ai absolument rien à me reprocher. Je ne sais pas pourquoi il a tenu de tels propos, mais ça ne m’encourage pas à le respecter».
Très en verve contre le président du Conseil départemental de Thiès, le jeune libéral martèle : «Même si j’avais tenu de tels propos, Idrissa Seck en homme d’Etat, devait se garder de l’étaler sur la place publique. Ça fait peur parce qu’Idrissa Seck a enregistré Abdoulaye Wade. Je ne suis pas capable de trahir mon parti».
Et de poursuivre : «Aller me plaindre chez Idrissa Seck relève de ma part une immaturité politique. Parce que j’ai d’autres tribunes pour le faire. Je suis secrétaire général adjoint de l’Ujtl. Je coordonne une Fédération à Kolda, j’ai des amis dans le parti. Donc s’il y a une préoccupation de cette nature, je la poserai dans le parti».
Selon lui, il n’a rien à se reprocher d’autant plus que rien ne peut lui être reproché : «Je regrette mais on n’a même pas parlé de ce sujet. Je suis à la fois déçu et très choqué par cette déclaration d’Idrissa Seck. Ma position par rapport à cette question, je l’ai posée au sein du Comité directeur et je l’assume. Je n’ai absolument rien à me reprocher. Je ne sais pas pourquoi il a tenu de tels propos, mais ça ne m’encourage pas à le respecter».
Très en verve contre le président du Conseil départemental de Thiès, le jeune libéral martèle : «Même si j’avais tenu de tels propos, Idrissa Seck en homme d’Etat, devait se garder de l’étaler sur la place publique. Ça fait peur parce qu’Idrissa Seck a enregistré Abdoulaye Wade. Je ne suis pas capable de trahir mon parti».
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