
Pierre Mamboundou, leader de l'Union du peuple gabonais , décédé à l’âge de 65 ans . (Photo: DR)
La disparition de l'opposant historique gabonais Pierre Mamboundou, leader de l'Union du peuple gabonais (UPG), décédé à l’âge de 65 ans dans la nuit du 15 au 16 octobre, suscite des réactions à la fois dans son camp et dans celui du pouvoir.
Pour Fidèle Waura, compagnon de route, secrétaire général de son parti, l'UPG, Union du peuple gabonais, Pierre Mamboundou « avait une vision, il voulait que le pays soit mieux gérer. Il a fait rêver les Gabonais, que le changement était possible, qu’avec lui on allait arriver à une nouvelle République ».
De son côté, Faustin Boukoubi, secrétaire général du PDG, Parti démocratique gabonais, le parti au pouvoir ne manque pas d’éloges à l’égard du l’opposant historique disparu: « c'était un vrai opposant, un homme entier incapable d'hypocrisie, un vrai républicain ». Pour sa part, le président gabonais Ali Bongo salue Ondimba salue «le démocrate» Pierre Mamboundou.
Toujours dans cet élan d'hommages, Zachary Myboto, leader de l'UGDD, Union gabonaise pour la démocratie et le développement déplore la mort du chef de l'UPG. Pour lui, « c'est une grande perte, c'était un homme de convictions ».
Pour Fidèle Waura, compagnon de route, secrétaire général de son parti, l'UPG, Union du peuple gabonais, Pierre Mamboundou « avait une vision, il voulait que le pays soit mieux gérer. Il a fait rêver les Gabonais, que le changement était possible, qu’avec lui on allait arriver à une nouvelle République ».
De son côté, Faustin Boukoubi, secrétaire général du PDG, Parti démocratique gabonais, le parti au pouvoir ne manque pas d’éloges à l’égard du l’opposant historique disparu: « c'était un vrai opposant, un homme entier incapable d'hypocrisie, un vrai républicain ». Pour sa part, le président gabonais Ali Bongo salue Ondimba salue «le démocrate» Pierre Mamboundou.
Toujours dans cet élan d'hommages, Zachary Myboto, leader de l'UGDD, Union gabonaise pour la démocratie et le développement déplore la mort du chef de l'UPG. Pour lui, « c'est une grande perte, c'était un homme de convictions ».
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