L’Union des forces républicaines (UFR) part d’un constat : « La décision de la Cour constitutionnelle est un fait acté », lit-on dans une déclaration publiée mercredi 30 décembre au soir. C’est une manière implicite de reconnaître le verdict des urnes, d’un scrutin jusque-là vivement contesté et que l’UFR a boycotté.
L’UFR prône désormais un dialogue national. « C’est un appel à la concertation pour qu’au moins, le travail recommence et que les Guinéens puissent voir le bénéfice de tous ces débats politiques qui n’en finissent pas », déclare Sidya Touré, président de l'UFR.
L'UPR se positionne en parti centriste pour exister
Avec qui compte-t-il dialoguer ? Avec le président Alpha Condé ? « On dialogue avec les gens avec lesquels on n’est pas d’accord. Sur quelle base ? Ceci reste à définir. Ce n’est pas une discussion personnelle pour retrouver des postes de-ci de-là, de savoir comment nous allons faire repartir les choses en Guinée », poursuit-il.
Dépourvu de députés au sein du Parlement, « l'UFR se positionne en parti centriste pour exister sur l’échiquier politique », analyse un responsable de la société civile. Le tout, dans un contexte où plusieurs leaders de l’opposition ont été inculpés mi-novembre pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », après les contestations électorales. L’Union des forces républicaines (UFR) part d’un constat : « La décision de la Cour constitutionnelle est un fait acté », lit-on dans une déclaration publiée mercredi 30 décembre au soir. C’est une manière implicite de reconnaître le verdict des urnes, d’un scrutin jusque-là vivement contesté et que l’UFR a boycotté.
L’UFR prône désormais un dialogue national. « C’est un appel à la concertation pour qu’au moins, le travail recommence et que les Guinéens puissent voir le bénéfice de tous ces débats politiques qui n’en finissent pas », déclare Sidya Touré, président de l'UFR.
L'UPR se positionne en parti centriste pour exister
Avec qui compte-t-il dialoguer ? Avec le président Alpha Condé ? « On dialogue avec les gens avec lesquels on n’est pas d’accord. Sur quelle base ? Ceci reste à définir. Ce n’est pas une discussion personnelle pour retrouver des postes de-ci de-là, de savoir comment nous allons faire repartir les choses en Guinée », poursuit-il.
Dépourvu de députés au sein du Parlement, « l'UFR se positionne en parti centriste pour exister sur l’échiquier politique », analyse un responsable de la société civile. Le tout, dans un contexte où plusieurs leaders de l’opposition ont été inculpés mi-novembre pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », après les contestations électorales.
L’UFR prône désormais un dialogue national. « C’est un appel à la concertation pour qu’au moins, le travail recommence et que les Guinéens puissent voir le bénéfice de tous ces débats politiques qui n’en finissent pas », déclare Sidya Touré, président de l'UFR.
L'UPR se positionne en parti centriste pour exister
Avec qui compte-t-il dialoguer ? Avec le président Alpha Condé ? « On dialogue avec les gens avec lesquels on n’est pas d’accord. Sur quelle base ? Ceci reste à définir. Ce n’est pas une discussion personnelle pour retrouver des postes de-ci de-là, de savoir comment nous allons faire repartir les choses en Guinée », poursuit-il.
Dépourvu de députés au sein du Parlement, « l'UFR se positionne en parti centriste pour exister sur l’échiquier politique », analyse un responsable de la société civile. Le tout, dans un contexte où plusieurs leaders de l’opposition ont été inculpés mi-novembre pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », après les contestations électorales. L’Union des forces républicaines (UFR) part d’un constat : « La décision de la Cour constitutionnelle est un fait acté », lit-on dans une déclaration publiée mercredi 30 décembre au soir. C’est une manière implicite de reconnaître le verdict des urnes, d’un scrutin jusque-là vivement contesté et que l’UFR a boycotté.
L’UFR prône désormais un dialogue national. « C’est un appel à la concertation pour qu’au moins, le travail recommence et que les Guinéens puissent voir le bénéfice de tous ces débats politiques qui n’en finissent pas », déclare Sidya Touré, président de l'UFR.
L'UPR se positionne en parti centriste pour exister
Avec qui compte-t-il dialoguer ? Avec le président Alpha Condé ? « On dialogue avec les gens avec lesquels on n’est pas d’accord. Sur quelle base ? Ceci reste à définir. Ce n’est pas une discussion personnelle pour retrouver des postes de-ci de-là, de savoir comment nous allons faire repartir les choses en Guinée », poursuit-il.
Dépourvu de députés au sein du Parlement, « l'UFR se positionne en parti centriste pour exister sur l’échiquier politique », analyse un responsable de la société civile. Le tout, dans un contexte où plusieurs leaders de l’opposition ont été inculpés mi-novembre pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », après les contestations électorales.
Autres articles
-
Cameroun - Présidentielle 2025 : 13 candidatures validées, Maurice Kamto écarté
-
Thaïlande: la loi martiale déclarée dans huit districts, un risque de «guerre» avec le Cambodge
-
Guinée: l'épidémie de mpox s'étend dans le pays, un an après son apparition
-
Centrafrique: la pression se renforce sur le gouvernement concernant le sort de l'ex-rebelle Armel Sayo
-
Niger: deux ans après le coup d'État, le président Tiani dénonce «les forces impérialistes déstabilisant son pays»