La Guinée a franchi la barre des 300 cas positif de mpox recensés depuis que ce pays d'Afrique de l'Ouest a enregistré son premier cas il y a bientôt un an, ont indiqué à RFI les autorités sanitaires. Au total, 307 cas ont été recensés depuis le 4 septembre 2024, dont 116 sont déclarés guéris.
Sept cas jugés graves sont hospitalisés et un seul décès a été enregistré. Il faut aussi signaler, toujours selon cette source sanitaire, que 461 cas suspects attendent leurs résultats du laboratoire.
Environ 70% des cas concernent des hommes
Le virus, apparenté à la variole, se transmet par contact physique étroit ou par des animaux infectés, provoquant des symptômes tels que fièvre, douleurs musculaires et lésions cutanées en forme de cloques. Le premier cas était une fillette de sept ans de la préfecture de Macenta, au sud-ouest de la Guinée.
L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSS) a mis en place des mesures de réponse, incluant une surveillance accrue, le suivi des contacts et un plan national de préparation, soutenu par l'OMS, l'Organisation mondiale de la Santé.
L'épidémie est considérée comme une urgence de santé publique, avec des inquiétudes concernant une propagation transfrontalière en raison de la connectivité régionale.
Sept cas jugés graves sont hospitalisés et un seul décès a été enregistré. Il faut aussi signaler, toujours selon cette source sanitaire, que 461 cas suspects attendent leurs résultats du laboratoire.
Environ 70% des cas concernent des hommes
Le virus, apparenté à la variole, se transmet par contact physique étroit ou par des animaux infectés, provoquant des symptômes tels que fièvre, douleurs musculaires et lésions cutanées en forme de cloques. Le premier cas était une fillette de sept ans de la préfecture de Macenta, au sud-ouest de la Guinée.
L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSS) a mis en place des mesures de réponse, incluant une surveillance accrue, le suivi des contacts et un plan national de préparation, soutenu par l'OMS, l'Organisation mondiale de la Santé.
L'épidémie est considérée comme une urgence de santé publique, avec des inquiétudes concernant une propagation transfrontalière en raison de la connectivité régionale.
Autres articles
-
Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport
-
Congo-Brazzaville: le Premier ministre espère une levée du «travel ban» américain
-
RDC: une centaine militaires et policiers jugés pour «abandon de poste» après la prise d’Uvira par l’AFC/M23
-
Mali: Bamako accueille le deuxième sommet de la Confédération des États du Sahel
-
Soudan du Sud, Iran, Palestine: l’incroyable parcours de Stefano Cusin, coach des Comores, qui défie le Maroc





Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport


