Les travailleuses de sexe sont prises en charge à l’Institut d’hygiène sociale de l’hôpital Polyclinique de la Médina (Dakar). Dans ce centre de référence de la prostitution, 4 652 professionnelles y ont été répertoriées. Parmi elles, une vieille dame de 70 ans qui dit tomber dans la prostitution à la suite des persécutions de sa famille.
Posée sur l’avenue Malick Sy de Dakar, l’unité de suivi des professionnelles de sexe, encore appelée centre Ist (Infection sexuellement transmissible), est le premier centre érigé au Sénégal pour traiter la prostitution légale.
« La législation exige que les prostituées s’inscrivent auprès de la clinique de vénérologie de leur localité et qu’elles obtiennent une carte de travail spéciale. Pour conserver leur statut légal, elles doivent se présenter chaque mois pour une visite simple et une visite complète par intermittence », révèle la professeur Fatoumata Ly, dermatologue et cheffe de service de l’unité.
Selon L’Observateur, en 20 ans de métier, le docteur Ly a vu passer toutes les catégories de professionnelles du sexe. Au total, le fichier a comptabilisé, depuis sa création, 4 652 travailleuses du sexe. Elles sont entre 900 et 1000 légalement actives dans le département de Dakar. De plus en plus, de jeunes femmes entre 21 et 28 ans se présentent pour bénéficier de leur première visite, informe-t-elle.
De janvier à novembre, 231 nouvelles cartes ont été délivrés par les services d’hygiène sociale.
Posée sur l’avenue Malick Sy de Dakar, l’unité de suivi des professionnelles de sexe, encore appelée centre Ist (Infection sexuellement transmissible), est le premier centre érigé au Sénégal pour traiter la prostitution légale.
« La législation exige que les prostituées s’inscrivent auprès de la clinique de vénérologie de leur localité et qu’elles obtiennent une carte de travail spéciale. Pour conserver leur statut légal, elles doivent se présenter chaque mois pour une visite simple et une visite complète par intermittence », révèle la professeur Fatoumata Ly, dermatologue et cheffe de service de l’unité.
Selon L’Observateur, en 20 ans de métier, le docteur Ly a vu passer toutes les catégories de professionnelles du sexe. Au total, le fichier a comptabilisé, depuis sa création, 4 652 travailleuses du sexe. Elles sont entre 900 et 1000 légalement actives dans le département de Dakar. De plus en plus, de jeunes femmes entre 21 et 28 ans se présentent pour bénéficier de leur première visite, informe-t-elle.
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