L’histoire du refus servi au Directeur général du PAD, Aboubacry Sadikh Bièye continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive avec de lourds soupçons de corruption. En effet, selon nos confrères de Libération, les représentants du contrôle financier de la Présidence, de la Primature, et du ministère de la Pêche ont tous dit non à cette requête.
S’y ajoute que la nécessité de s’acheter un nouvel immeuble qui n’est même pas terminé à un prix exorbitant alors que le PAD dispose déjà de 33 000 M3 n’est pas la meilleure chose à faire. Mais ces faits ne sont que la partie visible de l’iceberg. Car, les prix servis à l’estimation sont loin d’enchanter le CA.
Déjà, l’un des experts avait donné dans ses conclusions que l’immeuble à l’état fini valait 7,1 milliards de francs Cfa tandis que le second a pour sa part déclaré que son prix devrait avoisiner les 2,7 milliards de francs Cfa.
Devant ces tergiversations, le CA a tout bonnement décidé de ne pas cautionner un tel achat sans que des préalables ne soient remplis : «Le bâtiment R+5 à l’état actuel est inachevé et son estimation doit être faite sur la base de la situation réelle actuelle et par un expert immobilier qui a des compétences d’ingénieur BTP qui devra se prononcer sur la solidité des ouvrages et de leurs coûts analytiques», a écrit le CA.
Affaire à suivre…
S’y ajoute que la nécessité de s’acheter un nouvel immeuble qui n’est même pas terminé à un prix exorbitant alors que le PAD dispose déjà de 33 000 M3 n’est pas la meilleure chose à faire. Mais ces faits ne sont que la partie visible de l’iceberg. Car, les prix servis à l’estimation sont loin d’enchanter le CA.
Déjà, l’un des experts avait donné dans ses conclusions que l’immeuble à l’état fini valait 7,1 milliards de francs Cfa tandis que le second a pour sa part déclaré que son prix devrait avoisiner les 2,7 milliards de francs Cfa.
Devant ces tergiversations, le CA a tout bonnement décidé de ne pas cautionner un tel achat sans que des préalables ne soient remplis : «Le bâtiment R+5 à l’état actuel est inachevé et son estimation doit être faite sur la base de la situation réelle actuelle et par un expert immobilier qui a des compétences d’ingénieur BTP qui devra se prononcer sur la solidité des ouvrages et de leurs coûts analytiques», a écrit le CA.
Affaire à suivre…
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