Dans l’entretien qu’il nous a accordé, le patron de Aid Transparency, a demandé à la Société civile dont il se réclame de privilégier son rôle de vigie pour qu’au-delà, elle puisse également contrôler la façon dont la gouvernance est en train de se dérouler dans ce pays. Parce qu’à l’en croire, lorsque la Société civile prendra la décision d’être en même temps partie prenante du processus de gouvernance, elle n’aura plus les coudées franches pour voir les dérèglements pour les dénoncer et éventuellement proposer des solutions de rechange parce qu’elle ne pourra pas être juge et partie.
Pour lui, la société civile qui a été, un peu prise en otage par elle-même et par les politiques, s’est rendue compte par la suite qu’elle a été abusée. Et c’est dans ce sens qu’elle réagit maintenant en essayant de se reprendre de voir comment peser davantage sur l’échiquier politique.
Pour lui, la société civile qui a été, un peu prise en otage par elle-même et par les politiques, s’est rendue compte par la suite qu’elle a été abusée. Et c’est dans ce sens qu’elle réagit maintenant en essayant de se reprendre de voir comment peser davantage sur l’échiquier politique.
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