Le directeur général des Douanes du Sénégal, le colonel Babacar Mbaye, a souligné mardi la nécessité d’instaurer « un dialogue permanent et une confiance mutuelle » entre ses services et les opérateurs économiques. S’exprimant lors du lancement officiel de la troisième édition des Journées de l’entreprise, il a rappelé qu’« une douane moderne ne saurait exister sans un dialogue permanent et une confiance mutuelle entre celle-ci et les partenaires privilégiés que sont les opérateurs économiques ». La rencontre, prévue sur deux jours, porte cette année sur le thème « le rôle de la Douane dans la performance des entreprises ».
Pour le colonel Mbaye, cet événement demeure un espace « privilégié » permettant d’exprimer les attentes, de confronter les analyses, de lever les incompréhensions et d’élaborer des solutions partagées. Il a insisté sur le fait qu’« il n’est nul besoin de rappeler que la confiance se construit durablement, la performance se partage et que la souveraineté économique se construit collectivement ». Selon lui, l’implication active du secteur privé reste indispensable pour bâtir une administration douanière « qui facilite le commerce, favorise l’investissement et résolument tournée vers l’entreprise et le citoyen ».
Présent à la cérémonie d’ouverture, le président du Conseil national du patronat (CNP), Baïdy Agne, a estimé « nécessaire de procéder à l’ajustement du cadre réglementaire pour asseoir un environnement des affaires attractif, moderne et résilient », notamment grâce au plan d’actions prioritaires inscrit sur la feuille de route des Douanes. Il a salué la prise en charge par l’administration douanière des enjeux géopolitiques et sécuritaires actuels, ainsi que de la lutte contre le trafic illicite.
Baïdy Agne a également insisté sur l’urgence de renforcer l’innovation structurelle et technologique, en particulier la dématérialisation des procédures, afin d’améliorer la transparence et la qualité des services offerts. Concernant le transit international, il a plaidé pour « le développement de l’interconnexion régionale aux frontières », ainsi que pour la simplification et l’harmonisation des régimes douaniers, estimant que ces efforts permettraient une « meilleure interconnexion des droits des entreprises ».
Pour sa part, Malang Diedhiou, directeur de la Facilitation et du Partenariat avec les entreprises, a rappelé que le secteur privé a besoin d’un accompagnement « plus accentué et plus adapté » pour tirer pleinement parti des opportunités offertes par les marchés nationaux, continentaux et internationaux. Il a indiqué que cette troisième édition des Journées de l’entreprise vise précisément à consolider un « esprit de partenariat » capable de soutenir les acteurs impliqués dans la construction d’un environnement des affaires plus compétitif, rapporte Aps.
Pour le colonel Mbaye, cet événement demeure un espace « privilégié » permettant d’exprimer les attentes, de confronter les analyses, de lever les incompréhensions et d’élaborer des solutions partagées. Il a insisté sur le fait qu’« il n’est nul besoin de rappeler que la confiance se construit durablement, la performance se partage et que la souveraineté économique se construit collectivement ». Selon lui, l’implication active du secteur privé reste indispensable pour bâtir une administration douanière « qui facilite le commerce, favorise l’investissement et résolument tournée vers l’entreprise et le citoyen ».
Présent à la cérémonie d’ouverture, le président du Conseil national du patronat (CNP), Baïdy Agne, a estimé « nécessaire de procéder à l’ajustement du cadre réglementaire pour asseoir un environnement des affaires attractif, moderne et résilient », notamment grâce au plan d’actions prioritaires inscrit sur la feuille de route des Douanes. Il a salué la prise en charge par l’administration douanière des enjeux géopolitiques et sécuritaires actuels, ainsi que de la lutte contre le trafic illicite.
Baïdy Agne a également insisté sur l’urgence de renforcer l’innovation structurelle et technologique, en particulier la dématérialisation des procédures, afin d’améliorer la transparence et la qualité des services offerts. Concernant le transit international, il a plaidé pour « le développement de l’interconnexion régionale aux frontières », ainsi que pour la simplification et l’harmonisation des régimes douaniers, estimant que ces efforts permettraient une « meilleure interconnexion des droits des entreprises ».
Pour sa part, Malang Diedhiou, directeur de la Facilitation et du Partenariat avec les entreprises, a rappelé que le secteur privé a besoin d’un accompagnement « plus accentué et plus adapté » pour tirer pleinement parti des opportunités offertes par les marchés nationaux, continentaux et internationaux. Il a indiqué que cette troisième édition des Journées de l’entreprise vise précisément à consolider un « esprit de partenariat » capable de soutenir les acteurs impliqués dans la construction d’un environnement des affaires plus compétitif, rapporte Aps.
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