Les chauffeurs de la gare routière appelée ''garage Nioro de Kaolack'', sont très remontés contre la municipalité de la capital du Saloum. Ils accusent le maire de profiter de l’espace qui leur est réservé dans la nouvelle gare routière qui leur sert d’aire de repos pour les chauffeurs, pour y construire des cantines. Ce qui pour eux est injuste.
« A la gare routière de Nioro, les travaux ont démarré depuis presque 4 ans. Jusqu’à présent, ce n’est pas arrivé à terme. À notre grande surprise, il y a des espaces dont nous croyons que c’est réservé aux chauffeurs pour des aires de repos, mais malheureusement, depuis avant-hier, ils sont en train de vouloir construire ces espaces. Ce sont les chauffeurs qui se sont rebellés pour arrêter les travaux », a déclaré Pape Babacar Ndour par ailleurs président des chauffeurs.
Selon M. Ndour, les chauffeurs ne sont pas associés à ces projets. « Madame le Maire que je respect beaucoup n’a jamais fait des visites de chantier avec nous. Je pense que nous impliquer n’est pas nécessaire », dit-il. Toutefois, ces chauffeurs se disent ouverts au maire Mariama Sarr, et l’invitent à une rencontre pour arrondir les angles avant que l’irréparable ne se produit, rapporte Walf radio.
« A la gare routière de Nioro, les travaux ont démarré depuis presque 4 ans. Jusqu’à présent, ce n’est pas arrivé à terme. À notre grande surprise, il y a des espaces dont nous croyons que c’est réservé aux chauffeurs pour des aires de repos, mais malheureusement, depuis avant-hier, ils sont en train de vouloir construire ces espaces. Ce sont les chauffeurs qui se sont rebellés pour arrêter les travaux », a déclaré Pape Babacar Ndour par ailleurs président des chauffeurs.
Selon M. Ndour, les chauffeurs ne sont pas associés à ces projets. « Madame le Maire que je respect beaucoup n’a jamais fait des visites de chantier avec nous. Je pense que nous impliquer n’est pas nécessaire », dit-il. Toutefois, ces chauffeurs se disent ouverts au maire Mariama Sarr, et l’invitent à une rencontre pour arrondir les angles avant que l’irréparable ne se produit, rapporte Walf radio.
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