Face à la Commission d’Instruction qui a fini d’appuyer sur l’accélérateur pour en finir avec le dossier Karim à travers les auditions tous azimuts depuis la semaine dernière, la défense de l’ancien ministre d’Etat renforcée par sa famille accélèrent aussi la cadence. Depuis quelques temps, c’est le branle bas de combat dans le camp du célèbre détenu de la MAC de Rebeuss. A près de deux (2) semaines de la date butoir de la seconde instruction contre Karim, Mes Demba Ciré Bathily, Ciré Clédor LY, Seydou Diagne et El Hadji Amadou Sall sont sur le pied de guerre. Entre réunions, entrevues, visites soutenues à leur client, échanges avec des partenaires étrangers, une source de balancer :
« Ces derniers jours, le pool d’avocats chargé de l’ancien ministre se réunit de façon peu commune et cela, au fur et à mesure qu’approche la date butoir de la 2ème mise en demeure servie à leur client. C’est à se demander si la volonté de boycott naguère murie et exprimée puis publiquement annoncée par l’un des avocats du prévenu, en parfaite intelligence avec le reste du pool d’avocats, est toujours de mise dans leur camp », dans les colonnes du journal « l’observateur » qui indique que, du côté de la famille, c’est la même volonté qui est affichée.
Et chaque membre apporte sa contribution à sa manière. En tête vient le prédécesseur de Macky Sall, Me Abdoulaye Wade qui « est d’ailleurs retourné spécialement à Versailles (France) pour effectuer des réglages dans l’un des comptes bancaires de son fils ouvert dans les livres d’une institution financière sise à Monaco et dont les renseignements fournis, après réquisition au nom de la coopération judiciaire entre la France et le Sénégal faisaient état de 98.600.000 qui appartiendrait à Karim », poursuit la source.
Une somme par ailleurs réclamée par Wade-père auprès de qui, Sindiély ne baisserait pas les bras en vue de libérer son frère, ancien ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures, placé sous mandat de dépôt le 17 avril 2013 pour malversations financières et concussion dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis.
Ce, au moment disent nos confrères que des informations en possession du régime Sall en place font état de "jonction" entre Me Abdoulaye Wade et ses lieutenants les plus en vue au PDS qui sont sous le coup de la mesure d'interdiction de sortie du territoire national. Alertée, les autorités judiciaires du parquet spécial seraient devenues seraient devenues beaucoup plus regardantes sur la délivrance des autorisations exceptionnelles de sortie délivrées tout d'abord à l'ancien ministre de l'Intérieur Ousmane Ngom puis dernièrement au coordonnateur du parti, Oumar Sarr.
« Ces derniers jours, le pool d’avocats chargé de l’ancien ministre se réunit de façon peu commune et cela, au fur et à mesure qu’approche la date butoir de la 2ème mise en demeure servie à leur client. C’est à se demander si la volonté de boycott naguère murie et exprimée puis publiquement annoncée par l’un des avocats du prévenu, en parfaite intelligence avec le reste du pool d’avocats, est toujours de mise dans leur camp », dans les colonnes du journal « l’observateur » qui indique que, du côté de la famille, c’est la même volonté qui est affichée.
Et chaque membre apporte sa contribution à sa manière. En tête vient le prédécesseur de Macky Sall, Me Abdoulaye Wade qui « est d’ailleurs retourné spécialement à Versailles (France) pour effectuer des réglages dans l’un des comptes bancaires de son fils ouvert dans les livres d’une institution financière sise à Monaco et dont les renseignements fournis, après réquisition au nom de la coopération judiciaire entre la France et le Sénégal faisaient état de 98.600.000 qui appartiendrait à Karim », poursuit la source.
Une somme par ailleurs réclamée par Wade-père auprès de qui, Sindiély ne baisserait pas les bras en vue de libérer son frère, ancien ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures, placé sous mandat de dépôt le 17 avril 2013 pour malversations financières et concussion dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis.
Ce, au moment disent nos confrères que des informations en possession du régime Sall en place font état de "jonction" entre Me Abdoulaye Wade et ses lieutenants les plus en vue au PDS qui sont sous le coup de la mesure d'interdiction de sortie du territoire national. Alertée, les autorités judiciaires du parquet spécial seraient devenues seraient devenues beaucoup plus regardantes sur la délivrance des autorisations exceptionnelles de sortie délivrées tout d'abord à l'ancien ministre de l'Intérieur Ousmane Ngom puis dernièrement au coordonnateur du parti, Oumar Sarr.
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