Au Kenya, le défenseur des droits humains, Boniface Mwangi, a été libéré sous caution ce lundi matin, s’engageant à comparaitre en échange de sa libération provisoire. Il avait été arrêté à son domicile samedi pour « facilitation de terrorisme » lors des manifestations du 25 juin. C’est ce qu’avait initialement annoncé la Direction des affaires criminelles.
Il a finalement été inculpé ce matin pour « possession illégale de munitions », plus précisément trois grenades de gaz lacrymogène et une cartouche à blanc qui auraient été retrouvés lors des fouilles de son bureau samedi, selon l’acte d’accusation. Des accusations rejetées par le militant, qui a dénoncé une tentative d’intimidation de la part des autorités.
RFI
Il a finalement été inculpé ce matin pour « possession illégale de munitions », plus précisément trois grenades de gaz lacrymogène et une cartouche à blanc qui auraient été retrouvés lors des fouilles de son bureau samedi, selon l’acte d’accusation. Des accusations rejetées par le militant, qui a dénoncé une tentative d’intimidation de la part des autorités.
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