A en croire les éleveurs du département de Koungheul, le fléau du vol de bétail a refait surface subitement. En effet, d’après le président de l’Association nationale pour la promotion de l’élevage, l’inquiétude a fini par s’emparer des pauvres éleveurs de cette partie du Ndoukoumane qui n’ont que leurs yeux pour pleurer face aux exactions dont ils sont l’objet.
Sadibou Ka, très en verve, explique dans le journal Le Témoin, que les voleurs « sont devenus très audacieux car se croyant intouchables sans doute à cause du manque de gendarmes pour couvrir toute la zone. Les deux seules brigades se trouvent en effet à Ribot escale et à Koungheul commune, tout le reste du territoire n’est pas couvert. Ce qui fait que les malfrats sont très à l’aise pour commettre leurs forfaits dans la mesure où ils se baladent comme ils veulent dans la contrée sans être iniquités. Certes, les gendarmes présents dans le département font de leur mieux pour combattre l’insécurité ». Mais Sadibou Ka regrette que leurs effectifs et moyens soient très limités face à l’immensité de la tâche.
A preuve, le patron de l’organisation d’éleveurs renseigne que « pour ce qui est de la brigade de Ribot Escale, elle ne dispose que d’un seul véhicule qui ne parvient pas à sillonner les localités de sa zone de compétences tout en gérant la sécurité au niveau des marchés hebdomadaires de cette vaste zone.
C’est pourquoi les éleveurs interpellent les autorités en charge de la sécurité afin qu’elles fassent en sorte que chaque commune dispose d’une brigade de gendarmerie en vue d’arrêter les vols récurrents de bétail. En particulier de chevaux que les voleurs subtilisent avant de leur réclamer des rançons comprises entre 100.000 et 200.000 francs.
Des sommes qui, si elles devaient les payer, risquent d’enfoncer encore plus dans la misère les pauvres paysans et éleveurs qu’ils sont. Et pour cause, Sadibou Ka souligne que, dans cette localité ou les principales activités sont l’agriculture et l’élevage, « voler nos chevaux qui assurent les travaux champêtres revient à nous enlever notre principale ressource ». Et selon le président de l’Association nationale pour la promotion de l’élevage, c’est ce à quoi l’on assiste à Koungheul, « avec chaque jour des vols de trou- peaux de boeufs et de chevaux », déclare-t-il dans les colonnes du journal Le Témoin..
Sadibou Ka, très en verve, explique dans le journal Le Témoin, que les voleurs « sont devenus très audacieux car se croyant intouchables sans doute à cause du manque de gendarmes pour couvrir toute la zone. Les deux seules brigades se trouvent en effet à Ribot escale et à Koungheul commune, tout le reste du territoire n’est pas couvert. Ce qui fait que les malfrats sont très à l’aise pour commettre leurs forfaits dans la mesure où ils se baladent comme ils veulent dans la contrée sans être iniquités. Certes, les gendarmes présents dans le département font de leur mieux pour combattre l’insécurité ». Mais Sadibou Ka regrette que leurs effectifs et moyens soient très limités face à l’immensité de la tâche.
A preuve, le patron de l’organisation d’éleveurs renseigne que « pour ce qui est de la brigade de Ribot Escale, elle ne dispose que d’un seul véhicule qui ne parvient pas à sillonner les localités de sa zone de compétences tout en gérant la sécurité au niveau des marchés hebdomadaires de cette vaste zone.
C’est pourquoi les éleveurs interpellent les autorités en charge de la sécurité afin qu’elles fassent en sorte que chaque commune dispose d’une brigade de gendarmerie en vue d’arrêter les vols récurrents de bétail. En particulier de chevaux que les voleurs subtilisent avant de leur réclamer des rançons comprises entre 100.000 et 200.000 francs.
Des sommes qui, si elles devaient les payer, risquent d’enfoncer encore plus dans la misère les pauvres paysans et éleveurs qu’ils sont. Et pour cause, Sadibou Ka souligne que, dans cette localité ou les principales activités sont l’agriculture et l’élevage, « voler nos chevaux qui assurent les travaux champêtres revient à nous enlever notre principale ressource ». Et selon le président de l’Association nationale pour la promotion de l’élevage, c’est ce à quoi l’on assiste à Koungheul, « avec chaque jour des vols de trou- peaux de boeufs et de chevaux », déclare-t-il dans les colonnes du journal Le Témoin..
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