L’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo dirige l’Institut ouest-africain contre la drogue créé par Koffi Annan. Getty Images
Les analystes et spécialistes sont unanimes à reconnaître que les institutions et les moyens dont dispose la Guinée-Bissau ne lui permettent pas de lutter efficacement contre le narcotrafic.
L’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo, arrivé lundi à Bissau s’est rendu compte de l’évidence : le trafic de drogue nuit à la stabilité du pays en exacerbant les luttes de pouvoir entre les leaders politiques et militaires. Le président Olusegun Obasanjo : « La drogue c’est le problème. Si vous identifiez votre problème ou, comme le disent les médecins, si vous connaissez votre maladie, alors vous êtes sur le point de guérir. L’autre problème c’est la volonté politique. Et si la volonté politique n’y est pas, nous nous trompons ».
Considérée comme une plaque tournante du trafic de drogue, la Guinée-Bissau n’a pas que le transit des stupéfiants comme problème. La consommation de la drogue dure commence à prendre des proportions alarmantes. Christine Kafondo, co-fondatrice de l'Association Espoir pour demain (AED), accompagne le président Olusegun Obasanjo : « Le problème de la drogue n’est pas seulement un problème de transit et, même si c’est le cas, même s’il y a transit, il y a consommation ».
Source : Rfi.fr
L’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo, arrivé lundi à Bissau s’est rendu compte de l’évidence : le trafic de drogue nuit à la stabilité du pays en exacerbant les luttes de pouvoir entre les leaders politiques et militaires. Le président Olusegun Obasanjo : « La drogue c’est le problème. Si vous identifiez votre problème ou, comme le disent les médecins, si vous connaissez votre maladie, alors vous êtes sur le point de guérir. L’autre problème c’est la volonté politique. Et si la volonté politique n’y est pas, nous nous trompons ».
Considérée comme une plaque tournante du trafic de drogue, la Guinée-Bissau n’a pas que le transit des stupéfiants comme problème. La consommation de la drogue dure commence à prendre des proportions alarmantes. Christine Kafondo, co-fondatrice de l'Association Espoir pour demain (AED), accompagne le président Olusegun Obasanjo : « Le problème de la drogue n’est pas seulement un problème de transit et, même si c’est le cas, même s’il y a transit, il y a consommation ».
Source : Rfi.fr
Autres articles
-
Mali: la prolongation de la transition, objectif inavoué du dialogue inter-Maliens?
-
Mauritanie: l'ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz entend déposer sa candidature, même depuis sa prison
-
Les Tchadiens accusés d'avoir conspiré contre le président équato-guinéen tous acquittés mais toujours détenus
-
Israël lance une «action offensive» sur le sud du Liban
-
Vaccins : 51.2 millions de vies sauvées en Afrique en 50 ans