La réaction de l’armée ougandaise est claire : « Si ces terroristes attaquent l’Ouganda, nous n’hésiterons pas à exercer notre droit à les poursuivre », affirme le brigadier Karemire.
Cependant, le porte-parole des Forces de défense du peuple ougandais (UPDF) reste ferme quant aux responsabilités dans la lutte contre les rébellions dans les Kivu. « L’élimination de ces terroristes dans l’est de la RDC repose en priorité sur le gouvernement de Kinshasa », a-t-il déclaré, en ajoutant : « Les FARDC [Forces armées de République démocratique du Congo] doivent gérer le problème des ADF ».
L’armée ougandaise assure qu’elle va continuer à protéger ses frontières contre les infiltrations. Elle dispose, pour cela, de différentes positions dans le Rwenzori. Cette semaine se tenait d’ailleurs un rendez-vous entre des officiels congolais et ougandais pour discuter des problématiques transfrontalières.
Les forces armées ougandaises réfutent les rumeurs d’une possible action commune avec les FARDC côté congolais. « Ce n’est pas à l’ordre du jour », insiste le brigadier Karemire.
Mais il souligne l’importance d’une collaboration régionale. Il appelle en effet les pays de la Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), engagés dans un processus de mécanisme conjoint de lutte contre les ADF, à tenir leurs engagements.
Le porte-parole des UPDF regrette qu’à ce jour, seul l’Ouganda a mis à disposition ses hommes car, insiste-t-il, le groupe ADF menace la paix et la stabilité régionale.
Dans un communiqué, le CIRGL condamne l'attaque contre les casques bleus tanzaniens et appelle à la « neutralisation des ADF et autres groupes armés » de l'est de la RDC
Cependant, le porte-parole des Forces de défense du peuple ougandais (UPDF) reste ferme quant aux responsabilités dans la lutte contre les rébellions dans les Kivu. « L’élimination de ces terroristes dans l’est de la RDC repose en priorité sur le gouvernement de Kinshasa », a-t-il déclaré, en ajoutant : « Les FARDC [Forces armées de République démocratique du Congo] doivent gérer le problème des ADF ».
L’armée ougandaise assure qu’elle va continuer à protéger ses frontières contre les infiltrations. Elle dispose, pour cela, de différentes positions dans le Rwenzori. Cette semaine se tenait d’ailleurs un rendez-vous entre des officiels congolais et ougandais pour discuter des problématiques transfrontalières.
Les forces armées ougandaises réfutent les rumeurs d’une possible action commune avec les FARDC côté congolais. « Ce n’est pas à l’ordre du jour », insiste le brigadier Karemire.
Mais il souligne l’importance d’une collaboration régionale. Il appelle en effet les pays de la Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), engagés dans un processus de mécanisme conjoint de lutte contre les ADF, à tenir leurs engagements.
Le porte-parole des UPDF regrette qu’à ce jour, seul l’Ouganda a mis à disposition ses hommes car, insiste-t-il, le groupe ADF menace la paix et la stabilité régionale.
Dans un communiqué, le CIRGL condamne l'attaque contre les casques bleus tanzaniens et appelle à la « neutralisation des ADF et autres groupes armés » de l'est de la RDC
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