L'interdiction du port de voile dans l'enceinte de L'Instutition Sainte Jeanne d'Arc, une école catholique réputée à Dakar continue d'animer les débats, même après l'accord trouvé par les autorités. Ajoutée aux employés renvoyés de la pharmacie Guigon pour avoir accompli leurs prières pendant les heures de travail et la note de l'IEA interdisant aux musulmans de prier de l'enceinte de l'établissement, cette polémique a fait sortir la mosquée de Point E que dirige l'Imam Cheikh Kanté, de ses gongs.
Dans une déclaration parvenue à PressAfrik, le religieux et ses camarades pensent que c'est des "actes de provocations inacceptables, dans un pays comme le Sénégal. On est tenté de se demander si la succession chronologique des faits et la similitude des procédés, ne s'inscrivent-ils pas dans une logique de déstabilisation de notre pays, via des attaques frontales contre la foi de 95% des habitants de ce pays ? Quel peuple sommes-nous pour accepter l'inacceptable ?
La Déclaration dite de Dakar d'ajouter qu' "Une prise de conscience conséquente exige de nous tous de nous engager, ici et maintenant afin de : Ne pas laisser passer ces trois actes inqualifiables (note interdisant le renvoi des élèves voilées à l'ISJA), sans amener l'Etat à faire respecter la Constitution sénégalaise à ces institutions hors-la-loi; Agir pour la mise en place d'une structure nationale fédérant les hautes Autorités musulmanes du Sénégal afin de prévenir les tentatives sataniques de division qui visent à miner l'unité des musulmans au Sénégal; Œuvrer pour une modification constitutionnelle, en vue de sécuriser les fondamentaux et les symboles des religions musulmanes et chrétiennes et la révision des fêtes légales du pays proportionnellement à la représentativité de chaque entité religieuse".
Dans une déclaration parvenue à PressAfrik, le religieux et ses camarades pensent que c'est des "actes de provocations inacceptables, dans un pays comme le Sénégal. On est tenté de se demander si la succession chronologique des faits et la similitude des procédés, ne s'inscrivent-ils pas dans une logique de déstabilisation de notre pays, via des attaques frontales contre la foi de 95% des habitants de ce pays ? Quel peuple sommes-nous pour accepter l'inacceptable ?
La Déclaration dite de Dakar d'ajouter qu' "Une prise de conscience conséquente exige de nous tous de nous engager, ici et maintenant afin de : Ne pas laisser passer ces trois actes inqualifiables (note interdisant le renvoi des élèves voilées à l'ISJA), sans amener l'Etat à faire respecter la Constitution sénégalaise à ces institutions hors-la-loi; Agir pour la mise en place d'une structure nationale fédérant les hautes Autorités musulmanes du Sénégal afin de prévenir les tentatives sataniques de division qui visent à miner l'unité des musulmans au Sénégal; Œuvrer pour une modification constitutionnelle, en vue de sécuriser les fondamentaux et les symboles des religions musulmanes et chrétiennes et la révision des fêtes légales du pays proportionnellement à la représentativité de chaque entité religieuse".
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