
Le collectif des gouvernements scolaires du Sénégal qui avait refusé catégoriquement de reprendre le chemin de l’école, revient sur sa décision. Ses membres acceptent d’aller en cours le 2 juin prochain mais exigent des conditions adéquates pour éviter toute contamination du coronavirus.
« On peut être rassuré à condition que tout soit réuni, on retourne à l’école et si tel n’est pas le cas, on reste chez nous. C’est assez simple », a déclaré la coordonnatrice nationale et porte-parole du Collectif des gouvernements scolaires du Sénégal, d’entrée.
Revenant sur leurs exigences, Maguette Bâ a rappelé que le Collectif des gouvernements scolaires du Sénégal concerne tout le territoire national. Par conséquent, souligne-t-elle : « Chacun a ses problèmes. Peut-être à Dakar, on peut gérer certaines choses. Mais je me demande comment nos camarades qui sont à Kolda, à Matam, peuvent gérer avec les abris provisoires ».
Selon elle, la question a été posée au ministre de tutelle, Mamadou Talla et sa réponse était que « les mairies vont prendre en charge cet aspect ». Une réponse qui n’a apparemment pas convaincu Maguette Bâ, selon qui, « l ’autre problème qui se pose : c’est comment les maries vont pouvoir gérer cela ? »
A l’en croire, être à l’école le 2 juin, c’est trop risqué. « Si tout est réglé, on ira à l’école, mais s'il y a un seul côté qui ne va pas, on va tous rester chez nous », a-t-elle prévenu, lors d'une rencontre avec la Coordination des parents d’élèves et étudiants du Sénégal.
« On peut être rassuré à condition que tout soit réuni, on retourne à l’école et si tel n’est pas le cas, on reste chez nous. C’est assez simple », a déclaré la coordonnatrice nationale et porte-parole du Collectif des gouvernements scolaires du Sénégal, d’entrée.
Revenant sur leurs exigences, Maguette Bâ a rappelé que le Collectif des gouvernements scolaires du Sénégal concerne tout le territoire national. Par conséquent, souligne-t-elle : « Chacun a ses problèmes. Peut-être à Dakar, on peut gérer certaines choses. Mais je me demande comment nos camarades qui sont à Kolda, à Matam, peuvent gérer avec les abris provisoires ».
Selon elle, la question a été posée au ministre de tutelle, Mamadou Talla et sa réponse était que « les mairies vont prendre en charge cet aspect ». Une réponse qui n’a apparemment pas convaincu Maguette Bâ, selon qui, « l ’autre problème qui se pose : c’est comment les maries vont pouvoir gérer cela ? »
A l’en croire, être à l’école le 2 juin, c’est trop risqué. « Si tout est réglé, on ira à l’école, mais s'il y a un seul côté qui ne va pas, on va tous rester chez nous », a-t-elle prévenu, lors d'une rencontre avec la Coordination des parents d’élèves et étudiants du Sénégal.
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