Et de trois pour le journaliste Adama Gaye, détenu à la prison de Rebeuss depuis le 29 juillet 2019, pour "offense au chef de l'État" et atteinte à la "Sûreté de l'Etat".
PressAfrik a appris de source sûre que le Ministère public s'est opposé à une troisième demande de liberté provisoire du journaliste. Ainsi, le parquet a dix jours pour transmettre le Dossier au doyen des juges Samba Sall, a qui le dernier mot revient sur cette affaire.
Interpellé sur le dossier, son avocat Me Khroureyssi Ba semble perplexe pour la mise en liberté de son client. "Il va certainement rejeter, puisqu'il l'a fait avec les deux demandes introduites".
Toutefois, si cela est fait, la robe noire informe qu'il leur reste "qu'à saisir le Chambre d'accusations de la Cour d'appel de Dakar" pour faire bénéficier leur client d'une liberté provisoire.
Pour rappel le journaliste Adama Gaye avait décidé de reprendre sa grève de la faim si sa situation judiciaire n’évoluait pas favorablement. Il refuse ainsi de renoncer à ses droits fondamentaux et à l’idée d’une démocratie solide pour le Sénégal.
Plus que jamais déterminé à se battre pour triompher de son combat qu'il appelle « la bonne gouvernance et la transparence dans la gestion des affaires publiques », le journaliste avait demandé à ses avocats d'engager des poursuites judiciaires contre l’Etat du Sénégal devant les instances internationales. Ce, pour obtenir sa libération pour manquement avéré à ses obligations, en vertu des traités internationaux de droits de l’Homme.
PressAfrik a appris de source sûre que le Ministère public s'est opposé à une troisième demande de liberté provisoire du journaliste. Ainsi, le parquet a dix jours pour transmettre le Dossier au doyen des juges Samba Sall, a qui le dernier mot revient sur cette affaire.
Interpellé sur le dossier, son avocat Me Khroureyssi Ba semble perplexe pour la mise en liberté de son client. "Il va certainement rejeter, puisqu'il l'a fait avec les deux demandes introduites".
Toutefois, si cela est fait, la robe noire informe qu'il leur reste "qu'à saisir le Chambre d'accusations de la Cour d'appel de Dakar" pour faire bénéficier leur client d'une liberté provisoire.
Pour rappel le journaliste Adama Gaye avait décidé de reprendre sa grève de la faim si sa situation judiciaire n’évoluait pas favorablement. Il refuse ainsi de renoncer à ses droits fondamentaux et à l’idée d’une démocratie solide pour le Sénégal.
Plus que jamais déterminé à se battre pour triompher de son combat qu'il appelle « la bonne gouvernance et la transparence dans la gestion des affaires publiques », le journaliste avait demandé à ses avocats d'engager des poursuites judiciaires contre l’Etat du Sénégal devant les instances internationales. Ce, pour obtenir sa libération pour manquement avéré à ses obligations, en vertu des traités internationaux de droits de l’Homme.
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