Le SAES (Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur) maintient son mot d’ordre de grève et exige le respect des accords signés concernant la retraite.
«Cela commence par la formation des présidents de jurys qui aura lieu normalement la semaine prochaine. L’Objectif, c’est que jusqu’à présent le gouvernement traîne les pieds notamment pour le respect d’un des points essentiels qu’on a signés c’est-à-dire la question centrale de la retraite. Dans les négociations, nous avons proposé au gouvernement 80 %, le gouvernement nous dit, nous allons faire mieux. Nous allons même vous donner 85%. Le gouvernement ne peut pas venir en ce moment, nous proposer des schémas qui non seulement nous ferons cotiser plus pendant quinze (15) ans pour absolument ne rien avoir mais le gouvernement propose en réalité une baisse de salaires qui ne dit pas son nom. Pour nous, c’est une insulte et ça ne peut pas passer. C’est pourquoi, le SAES est déterminé à aller jusqu’au bout parce que vous avez vu que tout ce temps-là, c’était le grand silence. Pour nous, il fallait de façon responsable qu’on continue à travailler mais quand le gouvernement a sorti ce qu’il a sorti, pour nous, c’est une gifle…», a averti Yankhoba Seydi sur Zik fm.
«Cela commence par la formation des présidents de jurys qui aura lieu normalement la semaine prochaine. L’Objectif, c’est que jusqu’à présent le gouvernement traîne les pieds notamment pour le respect d’un des points essentiels qu’on a signés c’est-à-dire la question centrale de la retraite. Dans les négociations, nous avons proposé au gouvernement 80 %, le gouvernement nous dit, nous allons faire mieux. Nous allons même vous donner 85%. Le gouvernement ne peut pas venir en ce moment, nous proposer des schémas qui non seulement nous ferons cotiser plus pendant quinze (15) ans pour absolument ne rien avoir mais le gouvernement propose en réalité une baisse de salaires qui ne dit pas son nom. Pour nous, c’est une insulte et ça ne peut pas passer. C’est pourquoi, le SAES est déterminé à aller jusqu’au bout parce que vous avez vu que tout ce temps-là, c’était le grand silence. Pour nous, il fallait de façon responsable qu’on continue à travailler mais quand le gouvernement a sorti ce qu’il a sorti, pour nous, c’est une gifle…», a averti Yankhoba Seydi sur Zik fm.
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