
Magaye Gaye, économiste de renom, a salué cette décision en la qualifiant d'orientation stratégique et essentielle pour la formation d'un "citoyen nouveau". Selon lui, la formation d'un citoyen moderne ne repose pas uniquement sur l'éducation religieuse, mais inclut également l’apprentissage de langues utiles, comme l'anglais, pour préparer les jeunes à un monde professionnel de plus en plus mondialisé.
L’économiste a également soulevé un point fondamental : "au 21ᵉ siècle, l’analphabétisme ne se limite plus à l’incapacité de lire et d’écrire, mais englobe aussi la maîtrise insuffisante de l’anglais et des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC)", a-t-il expliqué. Cette observation souligne l’importance de l’anglais dans la formation des futurs citoyens, qui devront être compétents dans cette langue pour évoluer dans un environnement globalisé.
Magaye Gaye a pris l'exemple du Rwanda, un pays africain qui a introduit l'anglais dans son système éducatif bien avant le Sénégal avec un certain succès. Selon lui, le modèle rwandais pourrait servir de référence pour une mise en œuvre réussie et adaptée au contexte sénégalais.
Pour garantir le succès de cette réforme, M. Gaye insiste sur la nécessité de prendre des mesures préventives contre d’éventuels obstacles et de mettre en place un accompagnement adéquat pour la formation des enseignants ainsi que pour le déploiement de ressources pédagogiques appropriées.
Il a également suggéré que l’introduction de l’anglais dans les pays d’Afrique de l’Ouest soit envisagée de manière collective. Une telle démarche favoriserait l’intégration des pays anglophones et francophones et renforcerait les échanges économiques, particulièrement en prévision de la monnaie unique de la CEDEAO, l’Eco, bien que ce projet soit encore incertain.
L’économiste a également soulevé un point fondamental : "au 21ᵉ siècle, l’analphabétisme ne se limite plus à l’incapacité de lire et d’écrire, mais englobe aussi la maîtrise insuffisante de l’anglais et des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC)", a-t-il expliqué. Cette observation souligne l’importance de l’anglais dans la formation des futurs citoyens, qui devront être compétents dans cette langue pour évoluer dans un environnement globalisé.
Magaye Gaye a pris l'exemple du Rwanda, un pays africain qui a introduit l'anglais dans son système éducatif bien avant le Sénégal avec un certain succès. Selon lui, le modèle rwandais pourrait servir de référence pour une mise en œuvre réussie et adaptée au contexte sénégalais.
Pour garantir le succès de cette réforme, M. Gaye insiste sur la nécessité de prendre des mesures préventives contre d’éventuels obstacles et de mettre en place un accompagnement adéquat pour la formation des enseignants ainsi que pour le déploiement de ressources pédagogiques appropriées.
Il a également suggéré que l’introduction de l’anglais dans les pays d’Afrique de l’Ouest soit envisagée de manière collective. Une telle démarche favoriserait l’intégration des pays anglophones et francophones et renforcerait les échanges économiques, particulièrement en prévision de la monnaie unique de la CEDEAO, l’Eco, bien que ce projet soit encore incertain.
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