
Le mouvement "Force Doolel Askan wi", le Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique et la famille du Commissaire Cheikhna Sadibou Keïta, ont fait face à la presse ce dimanche 22 septembre 2024, au siège de l'Amnesty International Sénégal. Ils ont dénoncé l'arrestation "arbitraire" du Commissaire Keïta avant de demander "sa libération immédiate et sans condition".
Prenant la parole, Amadou Moustapha Gaye, Secrétaire politique du Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique dirigé par le Commissaire Cheikhna Sadibou Keïta, a parlé d'une atteinte à la liberté d'opinion : "Cette question touche non seulement la liberté d'expression au Sénégal mais également les fondements de notre démocratie".
Il a rappelé les raisons pour lesquelles le président du Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique et "Commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle" a été arrêté et envoyé en prison. "C'est suite à un commentaire fait sur une rumeur de malentendu qui aurait existé entre le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Rumeur qui, du reste, avait été largement relayée sur les réseaux sociaux des jours durant, avant d'être commentée par le Commissaire Keïta", a-t-il souligné.
Selon Amadou Moustapha Gaye, la convocation à la Brigade des affaires générales (Bag), sise au Palais de justice de Dakar, intervient "à la veille de l'interdiction la marche initiée par le Commissaire Keïta pour protester contre les propos de Cheikh Oumar Diagne, directeur des moyens généraux de la Présidence de la République portant discrédit sur nos chefs religieux".
M. Gaye a dénoncé entre autres "cette arrestation motivée par des accusation de diffusion de fausses nouvelles et d'offense au chef de l'Etat" qui, selon lui, "soulève de vives inquiétudes quand à la liberté d'expression et au respect des droits fondamentaux dans notre pays"
Le Secrétaire politique du Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique a fustigé "fermement cette mesure disproportionné" et a appelé "les autorités à respecter les droits de l'homme et à garantir un cadre ou chaque citoyens peut s'exprimer librement sans crainte de représailles".
"Nous invitons la communauté national et international à se mobilier pour la libération immédiate et sans condition du commissaire Keïta mais également de Ahmet Suzanne Camara à faire entendre leur voix contre la répression de la liberté d'expression au Sénégal", a-t-il conclu.
Miriam Keïta, porte parole de la famille, a lancé "un appel solennel à la raison aux autorités notamment au Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, qui a juré devant le peuple sénégalais pour la sauvegarde et le respect des droits des citoyens".
Me Oumar Youm, qui a pris part à la rencontre, a demandé "à nos gouvernants de se ressaisir".
Prenant la parole, Amadou Moustapha Gaye, Secrétaire politique du Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique dirigé par le Commissaire Cheikhna Sadibou Keïta, a parlé d'une atteinte à la liberté d'opinion : "Cette question touche non seulement la liberté d'expression au Sénégal mais également les fondements de notre démocratie".
Il a rappelé les raisons pour lesquelles le président du Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique et "Commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle" a été arrêté et envoyé en prison. "C'est suite à un commentaire fait sur une rumeur de malentendu qui aurait existé entre le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Rumeur qui, du reste, avait été largement relayée sur les réseaux sociaux des jours durant, avant d'être commentée par le Commissaire Keïta", a-t-il souligné.
Selon Amadou Moustapha Gaye, la convocation à la Brigade des affaires générales (Bag), sise au Palais de justice de Dakar, intervient "à la veille de l'interdiction la marche initiée par le Commissaire Keïta pour protester contre les propos de Cheikh Oumar Diagne, directeur des moyens généraux de la Présidence de la République portant discrédit sur nos chefs religieux".
M. Gaye a dénoncé entre autres "cette arrestation motivée par des accusation de diffusion de fausses nouvelles et d'offense au chef de l'Etat" qui, selon lui, "soulève de vives inquiétudes quand à la liberté d'expression et au respect des droits fondamentaux dans notre pays"
Le Secrétaire politique du Front organisé pour la République la Citoyenneté et l'Ethique a fustigé "fermement cette mesure disproportionné" et a appelé "les autorités à respecter les droits de l'homme et à garantir un cadre ou chaque citoyens peut s'exprimer librement sans crainte de représailles".
"Nous invitons la communauté national et international à se mobilier pour la libération immédiate et sans condition du commissaire Keïta mais également de Ahmet Suzanne Camara à faire entendre leur voix contre la répression de la liberté d'expression au Sénégal", a-t-il conclu.
Miriam Keïta, porte parole de la famille, a lancé "un appel solennel à la raison aux autorités notamment au Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, qui a juré devant le peuple sénégalais pour la sauvegarde et le respect des droits des citoyens".
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