
Le parti de Malick Gackou s'est réuni mercredi pour évoquer la situation politique, économique et sociale du pays qui reste, selon lui « marquée par les conséquences néfastes de la crise sanitaire ». Gackou et ses militants déplorent le « dilatoire dans l'application des points de consensus du dialogue politique entraînant un flou total sur, entre autres, le mode de scrutin, le parrainage, la caution, les divergences manifestes entre le pouvoir et l'opposition sur les résultats de l'audit du fichier électoral, l'empressement du pouvoir à fixer de manière unilatérale la date des élections locales ».
Gackou et compagnie ne cautionne pas « le saucissonnage des collectivités territoriales de la région de Dakar sans concertation préalable avec les acteurs concernés du dialogue ». Le Bureau Politique en appelle à la responsabilité du Président Macky Sall et de son gouvernement pour le respect des points de consensus sur lesquels il s'était engagé à appliquer sans rien y changer.
Pour eux, « ceci devait permettre au pays d'amorcer un nouveau virage dans son histoire politique avec l'organisation d'élections libres, transparentes, donc incontestables ».
« L'engagement commun de l'opposition à œuvrer à la pacification de l'espace politique n'aura de sens que si la majorité respecte ses engagements pour éviter à notre pays les convulsions qui pourraient annihiler l'instauration d'un état démocratique qui a pour seule vocation la défense des intérêts supérieurs de la Nation », disent-ils, dans un communiqué.
Dans ce contexte de crise économique et sociale due à la pandémie de la COVID-19 qui a exacerbé les difficultés des populations sénégalaises, le Grand Parti « dénonce avec la dernière énergie » l'achat d'un avion présidentiel « non prioritaire », face à l'étendue des enjeux sociaux engendrés par la crise et l'accélération de notre ratio Dette/PIB qui constituent des « menaces sérieuses » pour une croissance inclusive.
Abordant la situation internationale, notamment les violences à Jérusalem, le Bureau Politique s'est particulièrement intéressé à la situation au moyen orient. Il a ainsi appelé à une « réaction rapide et efficace de la communauté internationale pour mettre fin aux violences et permettre la désescalade dans les territoires occupés ».
Gackou et compagnie ne cautionne pas « le saucissonnage des collectivités territoriales de la région de Dakar sans concertation préalable avec les acteurs concernés du dialogue ». Le Bureau Politique en appelle à la responsabilité du Président Macky Sall et de son gouvernement pour le respect des points de consensus sur lesquels il s'était engagé à appliquer sans rien y changer.
Pour eux, « ceci devait permettre au pays d'amorcer un nouveau virage dans son histoire politique avec l'organisation d'élections libres, transparentes, donc incontestables ».
« L'engagement commun de l'opposition à œuvrer à la pacification de l'espace politique n'aura de sens que si la majorité respecte ses engagements pour éviter à notre pays les convulsions qui pourraient annihiler l'instauration d'un état démocratique qui a pour seule vocation la défense des intérêts supérieurs de la Nation », disent-ils, dans un communiqué.
Dans ce contexte de crise économique et sociale due à la pandémie de la COVID-19 qui a exacerbé les difficultés des populations sénégalaises, le Grand Parti « dénonce avec la dernière énergie » l'achat d'un avion présidentiel « non prioritaire », face à l'étendue des enjeux sociaux engendrés par la crise et l'accélération de notre ratio Dette/PIB qui constituent des « menaces sérieuses » pour une croissance inclusive.
Abordant la situation internationale, notamment les violences à Jérusalem, le Bureau Politique s'est particulièrement intéressé à la situation au moyen orient. Il a ainsi appelé à une « réaction rapide et efficace de la communauté internationale pour mettre fin aux violences et permettre la désescalade dans les territoires occupés ».
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