
L’Alliance des Forces de Progrès s'est réunie ce 30 mai sous la présidence de son secrétaire général Moustapha Niass. Elle a fait le bilan de ses douze dernières années de compagnonnage avec le Benno Bokk Yakkar. Lequel compagnonnage a « subi à plusieurs reprises, des investitures opaques et cavalières, facilitées par des dispositions du Code électorale déséquilibré » qui peut être « vérifié également dans les nominations dans l’appareil d’Etat et dans les nominations », a relevé le parti.
L’AFP s’est aussi exprimée sur l’actualité récente notamment la reddition des comptes entreprise par les nouvelles autorités. Pour le parti de Niass « c’est un principe intangible dans le fonctionnement normal de la République » mais elle « doit être menée sans arrière-pensée, de manière impersonnelle conformément aux lois et règlements du notre pays ». Elle ajoute que celle-ci doit « être poursuivie mais ne doit pas être un palliatif pour mettre le boisseau sur les promesses liées à l’amélioration des conditions de vie dépopulations».
Le parti en a profité pour magnifier « la validation des vertus du dialogue, approche qui sied à la respiration consensuelle et solidaire de notre société ».
L’AFP s’est aussi exprimée sur l’actualité récente notamment la reddition des comptes entreprise par les nouvelles autorités. Pour le parti de Niass « c’est un principe intangible dans le fonctionnement normal de la République » mais elle « doit être menée sans arrière-pensée, de manière impersonnelle conformément aux lois et règlements du notre pays ». Elle ajoute que celle-ci doit « être poursuivie mais ne doit pas être un palliatif pour mettre le boisseau sur les promesses liées à l’amélioration des conditions de vie dépopulations».
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